1 MANUAL DE ESTUDIOS SEMIÓTICOS
1.8 CONCEPTO Y DESARROLLO DE SEMIÓTICAS PARTICULARES
1.8.13 DESARROLLOS PEIRCEANOS
Message 577
Darcilia Simões
Sun Jul 16, 2000 8:23pm
Desarrollos peirceanos 1
Solicito informes bibliográficos sobre semiótica lingüistica aplicada de extração peirceana. Venho trabalhando com metodologia do ensino da língua portuguesa e tenho buscado facilitar a leitura/produção de textos por intermédio de aplicações da teoria da iconicidade de Peirce na interpretação dos textos. Os mais avançados nas pesquisas semióticas chamam meu trabalho de aplicação de uma semiótica sincrética pelo entrecruzamento de códigos com que venho operando, com ênfase no lingüístico e no pictórico. Como já lhes dissera nos primeiros contatos, sou noviça nos estudos semióticos, tendo iniciado minhas leituras teóricas em 1988. Por isso, achei importante ingressar no Grupo Semioticians para poder contar com a ajuda dos colegas cujas leituras encontram-se avançadas e, portanto, podem dar-me algum auxílio. Desde já agradeço-lhes a cooperação.
Darcilia Simões
Message 578
Mon Jul 17, 2000 9:50am
Jose Nicolas Romera <jromera@flog.uned.es>
Desarrollos peirceanos 2
Para Darcilia Simoes
Estimada colega:
Sobre tu tema puedo informarle sobre una de nuestras publicaciones del Instituto de Semiótica Literaria, Teatral y Nuevas Tecnologías (Universidad Nacional de Educación a Distancia, de Madrid): -Número monográfico sobre "PEIRCE Y LA LITERATURA" en SIGNA. REVISTA DE LA ASOCIACIÓN ESPAÑOLA DE SEMIÓTICA, nº 1 (1992), 243 págs. Saludos cordiales
José Romera Castillo
Director del ISLTYNT
Message 582
Thu Jul 20, 2000 11:33am
Fernando Andacht <fatur@adinet.com.uy>
Desarrollos peirceanos 3
Estimada Darcília y otros semioticians con este posible interés teórico en semiótica y lingüística,
En respuesta a tu pregunta bibliográfica "sobre semiótica lingüistica aplicada de extração peirceana" quería sugerirte los trabajos de alguien que me han parecido de gran rigor y de fuerte orientación triádico-peirceana. Me refiero a la bora del lingüista norteamericano MICHAEL SHAPIRO.
1983 _The sense of Grammar_ Bloomington: Indiana Univ. Press
1991 _The sense of Change_ Bloomington: Indiana Univ. Press
Extraigo lo siguiente del prólogo del segundo volumen (1991) que el autor considera miembro de este "díptico teórico": así puedes formarte una idea sobre el alcance de la reflexión teórica de Shapiro:
"This book is intended as a companion volume to _T.S. of G. Language as Semeiotic_ (1983). It shares with its predecessor a reliance on the thought of the modern founder of the theory of signs, C.S. Peirce. IN that sense it is the second panel of a diptych dedicated to the founding of a Peircean linguistics in a neo-structuralist frame that unites the insights of European structuralism with semeiotic analysis. Beacuse of the vastness of the field of historical and genetic linguistics, this book's compass has necessarily been limited to certain theoretical and methodological issues of supervening importance, and the reader will consequently find little discussion of the comparative method or of linguistic reconstruction."
Creo que valió la pena reproducir esta parte del Preface de Shapiro a causa de la riqueza de su obra, que entre otras cosas ha sido seminal como influencia para la producción de una de las mejores reflexiones, a mi entender, sobre la semiótica del mito, un intento más que atendible de James J. Liszka (_The semiotic of myth_ Bloomington: Indiana Univ. Press, 1989), por reunir lo más interesante del estructuralismo francés (la idea de VALOR saussureana), con la noción de INTERPRETANTE de la teoría de Peirce.
Suerte con la lectura,
Fernando Andacht
----------------------------------------------
Dr. Fernando Andacht
Tel/Fax. 005982 710 32 21
Sarmiento 2698/apto. 501 Montevideo CP 11300 Uruguay
Message 996
Sun Feb 18, 2001 3:34am
"marty" <marty@univ-perp.fr>
Desarrollos peirceanos 4
Sobre texto, discurso e interpretante
(responde a Semiótica indicial 24 )
Algunas contribuciones de Peirce y de Sartre sobre el Interpretante (cuotas extractas de "L'Algèbre des signes" R.Marty(1990), Collection "Foundations of Semiotics", John Benjamins, Amsterdam/Philadelphie, 406 p.) :
La première est tirée de "Apology for pragmaticism" qui parut dans The Monist en l906 et est reproduite dans les Collected Papers (4-55l) :
"En outre, les signes requièrent au moint deux quasi-esprits; un quasi-émetteur et un quasi-interprète; et bien que ces deux soient en un (c'est-à-dire soient un esprit) dans le signe lui-même, ils doivent néanmoins être distingués. Dans le signe, ils sont, pour ainsi dire, soudés."
Dans le même article on lit une note de 4-552, au sujet du Phème qui est un type de signe intervenant dans les graphes existentiels, selon laquelle ces signes sont produits par la collaboration de deux parties au sujet desquelles il précise :
" Ce sont deux corps de personnes, deux personnes, ou deux attitudes mentales ou états d'une personne".
Dans le même paragraphe il précise encore que les deux parties collaborant [dans le signe] seront appelées "le Graphiste et l'Interprète. Le Graphiste aura la responsabilité d'écrire chaque graphe originel et chacune des additions à ce graphe .[ ...] L'interprète aura a faire les effacements et les insertions au graphe que lui livre le Graphiste en accord avec les 'Permissions générales' déductibles des Conventions et ses propres buts ."
Dans un autre texte (n°33 Annexe A) :
"Il y a l'Interprétant Intentionnel, qui est une détermination de l'esprit de l'émetteur; l'interprétant Efficace, qui est une détermination de l'esprit de l'interprète; et l'Interprétant Communicationnel, ou disons le Cominterprétant, qui est une détermination de cet esprit dans lequel les esprits de l'émetteur et de l'interprète doivent être fondus pour qu'une communication puisse avoir lieu ."
Enfin dans MS 793 (texte nø67), Peirce précise, aprés avoir défini le signe comme "medium pour la communication d'une forme" :
"Mais il est nécessaire qu'il y ait deux, sinon trois, quasi-esprits, c'est-à-dire des choses capables de déterminations variées en ce qui concerne les formes du genre communiqué."
Jean Paul Sartre (1979:25 et passim) en répondant à une question de Michel Sicard relative à la pluralité du sens et à la place qu'il accorde au public dans la production de l'écriture:
"Je modifie les mots en fonction de l'idée que j'ai de lui [le public], c'est-à-dire de moi recevant ce que je veux écrire. Mais en même temps c'est quelqu'un de beaucoup plus large, de beaucoup plus indéfini que moi.[ ...] Il y a là évidemment une première notion du public qui est à l'intérieur quasiment de l'oeuvre. C'est la première version : j'écris un article pour mon public que je détermine à peu près d'aprés des milieux sociaux, avec les interdits et les possibles actuels.[ .. ]. Bref il y a une première action du public sur l'oeuvre qui est en accord avec moi : il lit les mots, il les retient ensemble comme je veux qu'il le fasse et il donne aux mots le sens qui ressort des autres mots comme je désire qu'il le fasse. La c'est un premier degré. Il y en a un second qui est le sens, c'est-à-dire quelque chose qu'il met dans la phrase, dans la page, dans l'oeuvre entière, qui n'est pas dite, parce qu'elle ne peut pas se dire."
Puis analysant l'exemple de l'écriture de " une belle journée d'automne" il conclut :
"Une belle journée d'automne" , c'est à la fois ma journée et la journée extérieure objective. Et le ciel est donné comme un mélange de ma journée et de la journée objective : c'est un de ces concepts subjectivo-objectifs qui sont une des caractéristiques du style, le subjectif d'ailleurs étant une certaine forme de la pensée exprimée qui peut aussi bien être objectif, c'est-à-dire que le subjectif est repris par l'objectif."
Enfin répondant à une question sur les risques de "déportation du sens" :
"quand j'écris une phrase, je ne pense pas que son sens soit accessible au premier coup à tous les lecteurs. Il me suffit qu'il soit accessible, c'est-à-dire qu'aprés un certain travail, on puisse y voir que je ne l'ai pas caché, que je l'ai expliqué à ma façon. C'est essentiel, ce sens total qui est mien et que le lecteur doit pouvoir saisir. Mais il y a plus : les sens qui enveloppent ce premier sens, purement objectifs, ou d'une subjectivité qui est reconstruite par l'objectivité et à travers elle... De sorte que la phrase a des sens que je n'ai pas donnés, que je ne connais pas et je sais quand j'écris que ces sens existent: je ne fais rien pour les avoir, je sais qu'ils m'échappent mais je sais qu'ils sont là."
Robert Marty
Message 997
Sun Feb 18, 2001 5:36am
"marty" <marty@univ-perp.fr>
Desarrollos peirceanos 5
Rectificación
En mi precedente mensaje seria mejor poner "citas" en lugar de "cuotas", aunque "cuotas" no sea tan extrano que puede parecer...-:)
Robert Marty
Message 1003
Mon Feb 19, 2001 5:26pm
"Gilles ARNAUD" <arnaud@univ-perp.fr>
Desarrollos peirceanos 6
Sobre texto, discurso e interpretante
bonjour,
L'exemple des tours de hanoi est particulièrement intéressant car l'observation des actions (interprétant final) des expérimentateurs lors de la résolution de ce problème, permet de les situer dans leur ascension vers le concept. Les dix classes de signes du treillis conviennent parfaitement à ce positionnement cognitiviste.
La problématique des tours de Hanoi présente un autre intérêt car elle introduit comme solution l'utilisation du concept de récursivité.
Ce concept formalisé génère une solution automatisable sous forme écrite.
Ci-dessous une illustration (la partie active du programme est de 8 lignes) de l'assistance conceptuelle assistée par ordinateur sue ce thème.
Le programme avec 5 disques: (Copyright (c) 1984 - 2000 Prolog Development Center A/S)
domains
loc =droite;milieu;gauche
predicates
hanoi(integer)
move(integer,loc,loc,loc)
inform(loc,loc)
clauses
hanoi(N):-
move(N,gauche,milieu,droite).
move(1,A,_,C):-
inform(A,C),
!.
move(N,A,B,C):-
N1=N-1,
move(N1,A,C,B),
inform(A,C),
move(N1,B,A,C).
inform(Loc1, Loc2):-
write("\ndéplacer le disque ", Loc1, " vers ", Loc2).
GOAL
hanoi(5).
Ce que le programme génère pour 5 disques : (virtuellement il n'y a pas de mimitation au nombre de disques)
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque droite vers gauche
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque droite vers gauche
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque gauche vers milieu
déplacer le disque droite vers milieu
déplacer le disque gauche vers droite
déplacer le disque milieu vers gauche
déplacer le disque milieu vers droite
déplacer le disque gauche vers droiteyes
Vous pouvez télécharger un programme de résolution visuelle des tours de hanoï à :
Il me semble que les tours de hanoï sont plus axées sur l'illustration du raisonnement ( information) et la construction du concept, que sur une illustration communicationnelle. Dans ma recherche spéculative je distingue le signe d'information et de communication.
http://perso.wanadoo.fr/a/a/Peirce/les_deux_signes2.htm
La figure 7.2.1.e6 (jointe) donne une idée d'une conception possible de l'échange.
A cette conception si on applique la théorie de la communication de Bateson on peut imaginer un niveau de signe réflexif dont l'objet est l'observation des deux signes de la figure. Un deuxième concept issu du même paradigme de la communication systémique, est celui de la boîte noire, qui fait dans un premier temps l'impasse de la connaissance de la phénoménologie productrice de l'action mais qui dans un deuxième temps la reconstitue par les signes observables. Ce concept de BN est explicité par Peirce :(5.402) Il semble donc que la règle pour atteindre le troisième degré de clarté dans la compréhension peut se formuler de la manière suivante : considérer quels sont les effets pratiques que nous pensons pouvoir êtres produits par l'objet de notre conception. La conception de tous ces effets est la conception complète de l'objet".
Cordialement
ARNAUD Gilles
Message 1007
Tue Feb 20, 2001 8:16pm
Josiane Caron-Pargue <Josiane.Caron@mshs.univ-poitiers.fr>
Desarrollos peirceanos 7
Sobre texto, discurso e interpretante
Bonjour,
Merci de tout ce travail concernant les tours de HanoÏ.
Malheureusement, je n'ai pas le logiciel adequat pour faire fonctionner du PROLOG.
(Malheureusement, aussi, je ne suis pas du tout informaticienne ! J'ai appris un peu à programmer dans le temps, mais je n'ai jamais eu le temps (ni la patience) de m'entretenir. Et si j'ai une formation aussi de mathématicienne, c'est dans les spécialités algèbre, analyse, topologie, donc rien à voir avec l'informatique).
En fait quand j'ai commencé à travailler avec des informaticiens, la première chose que j'ai apprise c'est qu'il y avait des tas de façons de simuler le problème de la tour de HANOï, mais c'est vrai que je ne connaissais pas celle-ci.
En fait ce que j'essaie de faire, c'est de caractériser le fonctionnement cognitif, à partir du langage. Je me suis finalement rabattue sur le problème de la tour de Hanoï, tellement connu et tellement étudié, simplement parce que cela permet plus aisément de s'ancrer dans le domaine cognitif classique, pour pouvoir définir à partir de là un fonctionnement cognitif contextualisé et donc beaucoup plus complexe. C'est la méthode d'analyse des verbalisations qui m'intéresse -dans la mesure où elle me permet de caractériser le cognitif.
D'après ce que vous dites je suis très contente d'apprendre qu'il y a effectivement un fondement théorique qui peut correspondre à ce que j'ai pu caractériser à partir des verbalisations. Mais le problème qui reste entier, c'est celui d'expliciter sur le plan pratique et méthodologique comment caractériser tout cela à partir du texte (corpus verbal) produit par les sujets simultanément à la résolution: par exemple à quel moment peut-on dire qu'il y a concept, et lequel ? Avez-vous visité le site
http://www.uia.ac.be/webger/ger/cnts/proverb/
voir rubrique: /papers (Caron-Pargue & Fièvre) où vous pouvez voir la façon dont je justifie mes analyses (je suis désolée, c'est le seul endroit que j'ai, le site du LaCo étant en chantier) Mes sujets ne voient pas la tour de Hanoï à plat mais d'une façon qui est complétement mise en perspective (toutes les mises en perspective que je peux trouver au niveau du langage, et dont je donne quelques critères sur ce site)
(Vous pouvez voir aussi sur ce site avec l'article de Labat & al. que nous pensons que la pensée humaine n'est généralement pas récursive du tout)
Ce qui me paraît intéressant dans le document sur votre site, c'est la possibilité de définir théoriquement et certainement pratiquement quand, comment, et dans quelles conditions, quelque chose est mémorisé, ainsi que de caractériser ce quelque chose. Le problème que j'ai alors c'est de savoir quel en est le critère de reconnaissance (et pourquoi ?) afin de pouvoir l'opérationnaliser dans un terrain que je connais, et de pouvoir le traduire dans un autre langage (cad dans ma discipline).
Pouvez-vous me donner un exemple sur un bout de mon protocole ?
Amicalement
Josiane
Message 998
Sun Feb 18, 2001 4:34pm
Josiane Caron-Pargue <Josiane.Caron@mshs.univ-poitiers.fr>
Desarrollos peirceanos 8
Sobre texto, discurso e interpretante
Chers sémioticiens, Robert, et aussi Juan,
Quelques mots pour dire que les informations au sujet du 'phème', m'ont beaucoup intéressées. Je ne connaissais pas du tout. J'y vois des liens avec mes problèmes de connaissances contextualisées qui se décontextualisent.
La première découverte de cette nouvelle connaissance pourrait correspondre au 'graphiste', 'interprétant intentionnel', et qui correspond à une'détermination de l'esprit émetteur'.
Le cas où le sujet (qui résout le problème) croira se reconnaître (ou pas) pour utiliser cette connaissance, et est généralement amené à effectuer quelques corrections - de l'ordre de ce qu'il sait faire - pour retrouver - ou reconstruire - cette connaissance, pourrait correspondre à 'l'interprète', 'interprétant efficace', qui correspond à une 'détermination de l'esprit d'interprète'
Le cas où la connaissance serait décontextualisée correspondrait à 'l'interprétant communicationnel' , à une détermination dans laquelle les deux esprits 'graphiste' et 'interprétant' seraient fondus, cad articulés. effectivement, ce que permet la situation, ainsi que l'organisation des buts (marqués dans les protocoles par des verbes modaux) joue un rôle.
A titre d''illustration, je prends un exemple du problème de la tour de hanoï, tel qu'il est apparu dans mes analyses, et que je reconstitue de mémoire. (plus précisément ici il s'agit d'un des mécanismes qui interviennent dans la construction de nouvelles règles de procédures - je ne sais s'il est le plus adapté ici, mais il est assez simple à expliquer)
- à un premier niveau, le sujet apprend à bouger un disque lorsque celui-ci est bloqué par un autre disque, situé soit sur le piton but, soit sur le disque à déplacer.
- il y a blocage lorsque sur le piton but se trouvent deux disques (un disque bloquant situé sur le disque qui bloque le piton). Pour résoudre la situation, le sujet focalise son attention sur le piton but (et en même temps sur le sous but = dégager le piton) : il se retrouve alors dans une situation qu'il sait résoudre, à savoir un disque bloquant le disque à déplacer. Mais il n'a pas pour autant appris à se débrouiller dans la situation initiale
- Il lui reste à récupérer ce qu'il voulait faire initialement, et à articuler d'une part ses buts, d'autre part les deux règles (blocage sur le piton but et blocage sur le disque), avant de savoir se débrouiller systématiquement dans ce genre de situation.
Mais ce que je trouve important c'est que les deux 'graphiste' et 'interprète' sont le fait du même sujet producteur.
Je pense que l'utilisation qui en a été faite dans la littérature correspond à une simplification, cad au cas où le producteur et l'interprète' sont des personnes différentes qui communiquent. D'où aussi le foisonnement de modèles de production du langage ou de compréhension, et très peu, quasiment pas, qui parlent à la fois de production et de compréhension.
Je conviens que cette interprétation soit à la communication, soit à l'écriture, au style, etc.. sont certes légitimes. Mais c'est aussi cette séparation des deux instances en deux individus distincts qui est à l'origine des controverses dont nos discussions sont un témoignage.
Enfin, je remercie Juan pour son initiative, et j'attends la suite.
Amicalement
Josiane
Message 1014
Wed Feb 28, 2001 7:58pm
"morentin" <morentin@inea.com.ar>
Desarrollos peirceanos 9
El interpretante comunicativo
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
La intervención de Marty respecto de los INTERPRETANTES me ha resultado de mucha utilidad, en especial por la mención que hace al INTERPRETANTE COMUNICATIVO (con una referencia “nº33 Annexe A” que no poseo y que aun no sé si se refiere a una cita que incorpora a su propio texto: L’Algèbre des signes, o a alguna edición de la obra de Peirce; lo mismo me ocurre con la cita siguiente: “MS 793 (texte no67)” sobre el “medium pour la communication d’une forme”; o sea, ¿estos textos está en “L’Algèbre des signes”?; texto que, lamentablemente, tampoco tengo).
Me interesa ese INTERPRETANTE COMUNICATIVO, por lo que traduzco la primera referencia: “Está el Interpretante Intencional, que es una determinación de la mente del emisor; el Interpretante Eficaz, que es una determinación de la mente del intérprete; y el Interpretante Comunicativo o, digamos, el Cominterpretante, que es una determinación de esa mente en la que las mentes del emisor y del intérprete deben fundirse para que pueda tener lugar una comunicación.”
Como DETERMINACIÓN de la mente de cada uno de los Interpretantes, admito este término “determinación” de raigambre hegeliana (con quien Peirce siempre mantuvo una dialéctica relación de amor-odio), en cuanto CONCRECIÓN de ESE ASPECTO de las mentes de cada uno de los Interpretantes que se refieren a la PRODUCCIÓN y a la INTERPRETACIÓN, respectivamente, de determinada SEMIOSIS SUSTITUYENTE.
Un poco más me cuesta admitir la TERCERA MENTE, esa “en la que las mentes del emisor y del intérprete deben fundirse”, porque en este contexto ya hablamos de una entelequia en la que el término “mente” aporta su sentido METAFÓRICO (y aquí, sí creo, con Josiane, que enturbia el problema), en cuanto mente virtual: no pertenece a nadie en concreto, sino, como en un diagrama de Venn, a la parte común a dos mentes (lo que NO ES UNA TERCERA MENTE).
Y, prescindiendo de esta referencia a esta mente en la que las otras se funden, esto es lo que me parece importante del concepto de INTERPRETANTE COMUNICATIVO: cuando el INTERPRETANTE PRODUCTOR generó su semiosis sustituyente aplicó DETERMINADAS FORMAS que tenía disponibles y las aplicó según DETERMINADAS RELACIONES que también tenía disponibles (aparte de otras formas y otras relaciones que también tenía disponibles pero que no aplicó). Una parte de esas forma y de esas relaciones que aplicó efectivamente deberá coincidir con las formas y las relaciones de las que el INTERPRETANTE DESTINATARIO dispone para aplicar a la interpretación de tal semiosis sustituyente y las aplica efectivamente, si no, no existiría un acuerdo mínimo para comunicarse acerca de algo (el contrato simbólico implícito en todo acto de comunicación o lo que la cita de Marty nos trae como INTERPRETANTE COMUNICATIVO).
Pero el INTERPRETANTE DESTINATARIO dispone también de OTRAS RELACIONES que puede aplicar para relacionar las formas propuestas en la semiosis sustituyente y que no son las que proyectó el INTERPRETANTE PRODUCTOR, pero que tienen que ser posibles entre las disponibilidades relacionales (la capacidad de contextualización) ostentadas por determinada comunidad en determinado momento histórico, como para que pueda utilizarlas uno de sus integrantes.
El INTERPRETANTE DESTINATARIO dispone, además, de OTROS TÉRMINOS que, posiblemente, hubiera preferido encontrar en la semiosis sustituyente en lugar de encontrar los que aplicó el INTERPRETANTE PRODUCTOR, pero que tienen que ser posibles entre las disponibilidades representacionales (actualizar otras designaciones con otra historia de contextualización que les proporciona otra carga semántica) ostentadas por determinada comunidad en determinado momento histórico, como para que pueda utilizarlas uno de sus integrantes.
EL CONJUNTO COMPARTIDO de términos y relaciones es lo que establece el grado de comunicabilidad que se da entre los dos INTERPRETANTES en función de una semiosis sustituyente compartida y tal es la utilización que hago de la expresión INTERPRETANTE COMUNICATIVO. Ese conjunto compartido se aproxima a los que M. Foucault denomina discursos producidos a partir de una misma “FORMACIÓN DISCURSIVA” y a lo que en otros mensajes he planteado como MUNDOS SEMIÓTICOS POSIBLES compartidos.
En la medida en que tales términos y relaciones DIVERGEN, la producción de la semiosis sustituyente y su interpretación también divergen. Es lo que constituye la lucha política por instaurar una discursividad hegemónica; lucha política destinada, a largo o corto plazo, al fracaso en beneficio de la pluralidad ideológica: en una sociedad determinada y en un momento determinado, el conjunto de los mundos semióticos posibles está caracterizado por su INCONSISTENCIA, o sea, por la vigencia de lo contradictorio (y esto no es metafísica, ya que, eventualmente, podría probarse que no).
Todo esto nos lleva, como en un agregado relativamente marginal, a reflexionar sobre la PASIVIDAD DEL REPRESENTAMEN. Es como decir que LAS PROPUESTAS PERCEPTUALES (las semiosis sustituyentes) NO SIGNIFICAN, LAS HACEN SIGNIFICATIVAS LOS INTERPRETANTES. En una tarea de investigación, en la que se está tratando de explicar las características según las que se produce la significación de determinado fenómeno social, es importante no caer en esta especie de ANIMISMO de las formas significantes, cualquiera sea su calidad: icónica, indicial o simbólica (y confieso que la fuerza de la inercia de las “maneras de hablar” es tan fuerte que habré caído varias o muchas veces en ese animismo y lo peor es que, aunque trataré de evitarlo, seguiré cayendo), y HABÍA ANIMISMO en el concepto de TERCERA MENTE o MENTE POR FUSIÓN DE MENTES. Cuando hablo de ANIMISMO no lo digo en sentido metafórico, sino con una pretensión técnicamente descriptiva del fenómeno metasemiótico, en mi concepto desviante, del que pretendo dar cuenta. Un discurso, la página de un libro, una imagen, una pieza musical, etc., no “hablan”, no son “elocuentes”, no “dicen” nada; en definitiva, NO SIGNIFICAN: lo que tiene capacidad para significar, o sea, para hacer significativo A ALGO, es el interpretante que lo produce y/o el que lo interpreta. O sea, SIN INTERPRETANTE NO HAY SIGNIFICADO; ahora bien, EN LO QUE INTERVIENE EL INTERPRETANTE TODO ES SIGNIFICATIVO.
Cordialmente.
Juan Magariños de Morentin
Message 1015
Thu Mar 1, 2001 4:02am
"marty" <marty@univ-perp.fr>
Desarrollos peirceanos 10
El interpretante comunicativo
Todos los textos de peirce citados salen de la agrupacion de 76 textos de Peirce poco mas o menos definitorios del signo triadico encontrados por entre los Collected Papers, News elements of Mathematics, Letters to lady Welby y Manuscritos, son clasificados por fecha conocida o estimada por el Robin (el catalogo de los MS). Los que interesan mucho a Juan-Antonio son los n° 33 y 67, pero estoy seguro de que muchos otros textos le interesaran y van a interesar a muchos de nuestros amigos y amigas.
Aqui los textos originales :
http://www.univ-perp.fr/see/rch/lts/marty/76defeng.htm
Aqui las traducciones al francés :
http://www.univ-perp.fr/see/rch/lts/marty/76-fr.htm
Estos textos son seguidos de un analisis que demuestra dos concepciones sucesivas del signo triadico segun Peirce :la primera, antes de 1905, llamada por mi "global triadica" y la segunda, que llamo "analitica triadica",mas fina que la primera, despues de esta fecha. Si alguien tiene gusto para traducir estos textos al espanol....
Robert Marty
Message 1020
Thu Mar 1, 2001 7:17pm
"Claudio Guerri" <cguerri@fadu.uba.ar>
Desarrollos peirceanos 11
El interpretante comunicativo
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
a mí también me interesó la intervención de Marty (18-02-01) y Magariños (28-02-01) respecto de los INTERPRETANTES y en especial el "conflictivo" concepto de INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE.
Aclaro que no me preocupa una cuestión nominalista ni de exégesis de las obras de Peirce o Sarte ya que mi interés principal es fundamentalmente verificar hasta qué punto estos planteos pueden ser útiles en una investigación en teoría del diseño o en la práctica profesional de esos campos.
Me permitiré por lo tanto algún razonamiento práctico, de alguna manera reduccionista, utilitario y ecléctico, tomando cierta distancia de la propuesta original ...de ser necesario o conveniente a mis objetivos. Como ya lo he planteado en otros escritos, utilizaré la terminología propuesta por Magariños (1984 [1991]:139-195): "Forma", "Existencia" y "Valor" (independientemente de la validez o no de literalidad descriptiva de estos términos) para tomar distancia táctica de la propuesta peirciana y descartando momentáneamente toda otra problemática no semiótica que también hace a la comunicación en tanto signo más que complejo.
Básicamente, me parece que el concepto de INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE recorta el aspecto 'existencial' de una comunicación cualquiera... lo cuál puede tener su conveniencia práctica como concepto diferencial... y porque... no hay 'dos' sin 'tres'...!!!
O sea, la Comunicación es el resultado de la interacción de tres interpretantes.
Vayamos por partes (...como dijo el descuartizador...) En toda 'comunicación' tendríamos siempre tres aspectos a considerar (...como mínimo!!!, agregaría seguramente Charles S.) ...teniendo en cuenta el texto propuesto por Marty (el pequeño fragmento en discusión) y re-escribiendo (por gusto nomás) el desarrollo posterior de Magariños, estos tres aspectos serían:
1. "Forma": por un lado, la pretención, determinación, deseo consciente o inconsciente del emisor con una producción o propuesta comunicativa que podemos evaluar como INTERPRETANTE (de su horizonte semiótico y bautizar como) INTENCIONAL (aunque algunos emisores no puedan hacerse cargo de la intención...) o INTERPRETANTE PRODUCTOR, en tanto 'primeridad'. En principio, y por estar considerando el conjunto de los tres aspectos de la comunicación, el INTERPRETANTE PRODUCTOR es 'pura forma posibilitante' a ser interpretada (si bien constituida por 'valores');
3. "Valor": por otro lado y 'en el extremo opuesto', el INTERPRETANTE EFICAZ o INTERPRETANTE DESTINATARIO en tanto 'terceridad' (la literalidad de 'eficaz' supongo que deberá ser tomada como eufemismo por una cantidad amplia de otros calificativos... según el caso; aquí sí podría ser conveniente una terminología que no aventure resultados), en tanto operación (o recorte interpretativo) realizada por el receptor desde su propio horizonte semiótico (independiente del emisor)... 'puro valor interpretativo' de esa forma dada.
...y 'en el medio'...
2. "Existencia": ...qui ci sta er busillis!!!...
Es el lugar lógico del INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE. Dejemos de lado por un momento la descripción que cita Marty, Magariños también apunta a que algunos términos podrían ser discutidos... Pero... lo único que 'existe' como COMUNICACION entre ese emisor y receptor supuestos (respectivamente Forma y Valor) es aquella parte de ambos constructos (Existencia) que coincide en "formas y relaciones".
Lo producido y lo recibido (Valor) es consecuencia de una competencia 'interna' y 'externa' (Forma) así como de una capacidad de producción y contextualización (Existencia) en ambos participantes.
Lo que el emisor logra hacer llegar como comunicación 'existente', 'concreta', (...nunca diría 'real') al receptor no es el valor asignado/construido de la semiosis sustituyente producida por el INTERPRETANTE PRODUCTOR sino aquella parte de su constructo (formas y relaciones) que "el INTERPRETANTE DESTINATARIO dispone para aplicar a la interpretación de tal semiosis sustituyente".
Así, por ser 'primeridad', el INTERPRETANTE PRODUCTOR queda excluido del INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE, en tanto 'segundidad'. A su vez, el INTERPRETANTE DESTINATARIO al asignarle valor sólo a aquellas formas y relaciones de que dispone para aplicar a la interpretación de la semiosis sustituyente propuesta, queda excluído de una parte de esa 'primeridad' posibilitante. Para el la semiosis sustituyente propuesta por el INTERPRETANTE PRODUCTOR podrá ser en alguna medida (mayor o menor) sólo una "atribucion" de 'pura forma'.
El INTERPRETANTE DESTINATARIO tiene acceso directo al INTERPRETANTE COMUNICATIVO (en tanto "objeto inmediato") pero no al INTERPRETANTE PRODUCTOR. Será necesario un tiempo segundo en el cuál se cambiarán roles para llegar a una primera "superación" ...y asi, al infinito...
El INTERPRETANTE COMUNICATIVO o COMINTERPRETANTE surge así como un 'aspecto dinámico' (en tanto "objeto dinámico", segundidad) a ser construido por los otros dos interpretantes a lo largo de un tiempo indefinido.
Con esta u otra interpretación... me parece que este concepto puede tener una cierta eficacia...
Al fin y al cabo... mutatis mutandis... el texto citado por Marty 'sólo' contiene algunos términos 'conflictivos'... pero me parece que no difiere, en lo fundamental, de lo que he tratado de explicar... y a pesar de todo... no quiero decir que la forma no importa... todo lo contrario!!!
Cordialmente
Claudio Guerri
Message 1029
Sat Mar 3, 2001 12:12pm
Josiane Caron-Pargue <Josiane.Caron@mshs.univ-poitiers.fr>
Desarrollos peirceanos 12
El interpretante comunicativo
Chers sémioticiens, Cher Juan,
Tout à fait d'accord avec Juan, pour préciser et caler la terminologie. La notion d'interprétant (plutôt que esprit, ou mente) convient mieux, il me semble. Quoi que les termes 'mind' (Peirce est en anglais, à l'origine ?), esprit, et mente ne soient pas équivalents. De toute façon dans les textes envoyés par Robert Marty, il y a l'interprétant intentionnel, l'interprétant efficace, et l'interprétant communicationnel. Il parle aussi de 'deux corps de personnes, deux personnes, ou deux attitudes mentales ou états d'une personne'.
La traduction en termes de semiosis substituantes/ substituées est intéressante, mais la notion d'interprétant lui est-elle intégrée ? sinon Juan, c'est un peu à toi-même que tu fais ta propre critique au sujet de l'animisme...
O.K. pour dire que les relations prises en compte par l'interprétant destinataire (interprétant efficace), ne sont pas les mêmes que celles qui sont prises en compte par l'interprétant producteur (intentionnel), mais qu'elles sont possibles parmi les relations disponibles. Mais d'un point de vue cognitif comment caractériser les relations disponibles, et comment expliquer le choix de certaines parmi celles-ci ? à partir de quand, ou dans quelles conditions sont-elles disponibles pour une situation donnée ? O.K. pour dire qu'interviennent d'autres éléments, spécifiques à la semiosis substituante.
En termes de mémoire, on pourrait dire que la sémiotisation implique d'une part la récupération d'une connaissance déjà stockée en mémoire (à long terme), mais que en la récupérant, elle est modifiée du fait d'une possible prise d'informations externes et aussi du fait des contraintes liées au langage (ou à tout autre media représentatif).
C'est sûr que la présence d'éléments communs entre les deux premiers interprétants constitue une étape vers l'interprétant communicatif, mais je ne crois qu'il suffise de dire cela ; il doit sans doute une véritable articulation entre les visées respectives des différents interprétants. Juan, peux-tu me rappeler la référence de Foucault concernant les 'formations discursives' ?
Si cette articulation ne se fait en situation de résolution de problème, l'apprentissage stationne, et le sujet 'tourne en rond', avec des tours et des détours.
De toute façon la description en termes de représentamen n'est pas non plus suffisante, il faudrait arriver à l'expliciter en terme de traitement de l'information. Peut-être y a -t- il une direction possible en reliant le representamen et l'interprétant à un guidage attentionnel (il me semble avoir compris qu'à partir de Peirce c'était possible, mais je n'ai pas encore compris comment)
Peut-être y a -t-il des pistes du côté des philosophes ? Je pense à Kant (cf la synthèse des phénomènes- in critique de la raison pure), et à Piaget qui s'en est inspiré avec la coordination des points de vue, et aussi son 'abstraction réfléchissante'. Mais je ne suis pas philosophe de formation..., il y en a peut-être parmi les sémioticiens ?
Merci Juan, de t'attaquer à ce problème.
Amicalement à tous.
Josiane
Message 1037
Tue Mar 6, 2001 2:10pm
"marty" <marty@univ-perp.fr>
Desarrollos peirceanos 13
Tres en uno
Solo voy a tratar de la metafora de la fusion de las quasi-mentes del emisor y del interprete en el cominterpretant
El texto original es en un borrador de una carta a lady Welby (Semiotics and Significs, p.196. Letter to Lady Welby (Draft) dated "1906 March 9") del cual sale tambien el texto n°33 (es decir que no lo encontraran en los 76 textos que he recogido). Desgraciadamente no lo tengo ahora , solo puedo reproducir la traduccion al francés tal que la encontraran en L'algèbre des signes ; esta cita es mas completa:
"Il y a l'Interprétant Intentionnel, qui est une détermination de l'esprit de l'émetteur, l'Interprétant Efficace, qui est une détermination de l'esprit de l'interprète; et l'Interprétant Communicationnel (Communicational), ou disons le Cominterprétant, qui est une détermination de cet esprit dans lequel les esprits de l'émetteur et de l'interprète doivent être fusionnés pour que la communication puisse avoir lieu. Cet esprit peut être appelé le "commens". Il consiste dans tout ce qui est, et doit être bien compris entre l'émetteur et l'interprète dès le é‚but, pour que le signe en question remplisse sa fonction."
Hablamos ahora de esta fusion ; mi concepcion es la siguiente : las determinaciones de las mentes del emisor y del interprete son dos instancias particulares de este "cominterpretante" o "commens" (= un ser comun)que es un "ya-aqui", una micro-institucion social que debe existir NECESARIAMENTE antes que empieza la comunicacion para que puede haber lugar. Es decir que la relacion de este "commens" con las dichas determinaciones es una relacion de universal a particular o mejor a particulares. El termino "fusion" es para mi una metafora empleada por Peirce que no tenia a disposicion el concepto dialectico de institucion tal que se practica hoy por ejemplo por entre los sociologos del analisis institucional (cf R. Lourau, L'analyse institutionnelle, Editions de Minuit, 1970). Por eso, las tres quasi-mentes de las cuales se habla son evidentemente las del emisor y del interprete y la tercera es de otro nivel, es una construccion social, colectiva, un ens rationis (ser de razon) que determina a las mentes individuales en cuanto a sus interpretaciones de las percepciones del mundo exterior es decir que determina los objetos de los signos percibidos. Pienso que se tiene que decir "quasi-mente" porque no se habla de la mente tal que està sino de una mente considerada respecto a su interiorizacion de la institucion social existente que esta surdeterminandola. Esta concepcion dialectica-constructivista permite de pensar en otros conceptos como los de "violencia simbolica" y "inculcacion pegdagogica" de Bourdieu o de "Sociedad Maestra" de Lourau y después, los fenomenos diacronicos pueden ser considerados de modo mas adecuado.
Por eso se puede decir que estas quasi-mentes son "tres en una", la "una" siendo una de las tres que es esta quasi-mente colectiva. Es una relacion triadica (degenerada al primer grado!)
saludos a todos y a todas.
Message 1039
Thu Mar 8, 2001 4:55am
Josiane Caron-Pargue <Josiane.Caron@mshs.univ-poitiers.fr>
Desarrollos peirceanos 14
Cher Juan, Robert, Claudio,
Merci de vos messages, tout devient plus clair. Evidemment si 'valeur' ne renvoie pas à Saussure...
Par ailleurs, j'avais bien compris que Peirce se référait à une situation de communication. Et jamais je n'ai pensé qu'il y avait des esprits qui se fondaient en un seul. Simplement je pensais à des états mentaux successifs chez un même individu (pas immédiatement successifs, mais qui marquent des étapes successives dans l'acquisition d'expertise), le premier contextualisé d'une façon, le second contextualisé d'une autre façon, puis une articulation qui s'effectue entre les deux et qui libère l'expertise en question du contexte, cad qui le décontextualise.
Je voyais un lien avec le texte qu'avait présenté Robert. Mais je comprend très bien que ma lecture a dépassé très largement ce qu'a dit Peirce (pourtant certains parlent de langage intérieur - pas moi, je suis contre - et on pouvait alors considérer une communication entre l'émetteur et le récepteur intérieur....... Stop, je m'arrête).
Je comprends très bien aussi que Peirce n'a rien à voir avec mon problème de contextualisation vs décontextualisation. Cela n'a pas d'importance d'ailleurs, car de toute façon, mon but c'est de modéliser ce processus, ce qui ne devrait pas être difficile - étant donné ce que j'ai déjà-, dès que j'aurais pu systématiser la façon de caractériser un certain niveau de contexte (cf les autres discussions texte vs discours. De plus, je dis 'un certain niveau' car je sais très bien que l'on a pas tout, mais cela me suffit).
Claudio ....(je ne vais pas encore continuer...! merci de ta réaction)..., en fait puisque tu sembles travailler aussi d'un point de vue cognitif dans le domaine de l'architecture, normalement mon approche de la signification contextualisée vs non contextualisée devrait t'intéresser. Outre le travail actuel que je fais sur les verbalisations simultanées à une résolution de problème, j'ai fait mon doctorat et quelques autres travaux sur le problème de la représentation graphique de solides géométriques et d'instructions pour faire un noeud. Je te donne ci-après quelques références que normalement tu devrais être à même de trouver.
J. Caron-Pargue (1987). Analyse d'instructions graphiques pour faire un noeud. La filiation des significations dans des dessins d'enfants. Archives de Psychologie, 55, 153-173 ( cf. aussi l'introduction pp 99-104 dans le même numéro - c'est un recueil d'articles que j'avais organisé)
J. Caron-Pargue (1992). A functional analysis of decomposition and integration in children's cylinder drawing. British Journal of Developmental Psychology, 10, 51-69.
Dans ces deux articles tu peux trouver des exemples de contextualisation et décontextualisation, analogues à ceux que je cherche à mettre en forme dans les stratégies de résolution de problème (moi aussi, je cherche à faire quelque chose de pratique, d'opérationnel)
Par ailleurs, je te donne également une autre référence, qui explicite ce qui avait été un des points de départ de mon doctorat.
J. Caron-Pargue (1989). Is pictorial space "perceived" as real space ? Behavioral and Brain Sciences, 12(1), 75-76 (Il s'agit d'une discussion de l'article de Deregowski 'Real space and represented space : Cross-cultural perspectives', qui tu le sais peut-être a pas mal travaillé sur des problèmes de représentation de l'espace, et de solides complexes).
Voilà, c'est tout ce que j'ai à dire pour, je l'espère, clore cet épisode.
En tout cas merci de vos textes.
Amicalement
Josiane
Si bien están vinculados al desarrollo de la SEMIÓTICA INDICIAL, hay en ese bloque algunos mensajes que sitúan una interesante discusión peirceana. Los dejo allí, pero comento que se trata de los mensajes 28 a 34, en especial los relativos a la discusión entre Joëlle Réthoré y Josiane Caron-Pargue.
Message 1410
Mon Oct 8, 2001 8:12 pm
Juan Magariños
Desarrollos peirceanos 15
Semiosis sustituyente - semiosis sustituida - objeto semiótico
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
Hoy regreso a un tema fundamentalmente peirceano, si bien en su comprensión intervienen algunas reflexiones que son una transformación de las propuestas saussureanas. Pese a la aparente antinomia, nunca he considerado que Saussure y Peirce hayan elaborado concepciones incompatibles. Y como siempre, el tema que propongo (no por primera vez, pero sí tratando de ir consolidándolo) está vinculado tanto a su implementación como METODOLOGÍA DE ANÁLISIS EN LA EXPLICACIÓN DE LA PRODUCCIÓN, CIRCULACIÓN Y TRANSFORMACIÓN DE LA SIGNIFICACIÓN, como a su exploración en función de las distintas SEMIOSIS SOCIALES vigentes en determinada sociedad, sean éstas ICÓNICAS, INDICIALES o SIMBÓLICAS. Y, también como siempre, no se considere que afirmo lo que escribo desde ningún dogmatismo, sino como aporte tentativo a la reflexión de todos, incluyéndome en esa totalidad.
En principio, suelen utilizarse, en SEMIÓTICA, tres expresiones que no son intercambiables, sino que cada una se refiere a un aspecto determinado de la INTERRELACIÓN SEMIÓTICA que produce el conocimiento e, incluso, a un estado determinado en el progreso del SIGNO hacia su eficacia específica. Son las expresiones "SEMIOSIS SUSTITUYENTE", "SEMIOSIS SUSTITUIDA" y "OBJETO SEMIÓTICO". En especial, en esta oportunidad, quisiera proponer algunas reflexiones acerca de la diferencia y proximidad entre las dos últimas expresiones: "SEMIOSIS SUSTITUIDA" y "OBJETO SEMIÓTICO".
Cierto que estas últimas no tienen sentido sino es en función de la SEMIOSIS SUSTITUYENTE en cuanto esta semiosis es el INSTRUMENTO OPERATIVO que, PERCIBIDO SENSORIALMENTE e INTERPRETADO DESDE ALGUNA MENTE, da lugar a la producción de la SEMIOSIS SUSTITUIDA y del OBJETO SEMIÓTICO.
Me interesa destacar el carácter de INSTRUMENTO OPERATIVO que le atribuyo a la SEMIOSIS SUSTITUYENTE. Podéis tener en cuenta que LA PÁGINA QUE ESTÁIS LEYENDO es una SEMIOSIS SUSTITUYENTE, como lo es una exhibición en un museo o los objetos situados tras la vidriera (o escaparate) de un comercio, etc. Son OPERATIVOS porque CONSTRUYEN (y ésta es su operatividad) la idea y/o el concepto y/o el significado de OTRA COSA y, por eso, son SUSTITUYENTES de algo que es DISTINTO de lo que se está percibiendo e interpretando.
Vamos a explorar hasta qué punto puede ser METODOLÓGICAMENTE ÚTIL y estar TEÓRICAMENTE BIEN FUNDAMENTADO considerar que el OBJETO SEMIÓTICO es cualquier ente o fenómeno con el significado que las semiosis sustituyentes que circularon en la sociedad en la que cada intérprete vive LE HAN ATRIBUIDO; exactamente así, dicho EN PASADO, ya que usaríamos "OBJETO SEMIÓTICO" para referirnos a lo que sabemos acerca de algo en algún momento en el que no estamos incrementando nuestro conocimiento acerca de él, o sea, en un momento en el que no lo consideramos como lo que está siendo sustituido por alguna SEMIOSIS SUSTITUYENTE, sino que ya lo ha sido HISTÓRICAMENTE. Pido un poco de paciencia, más allá de la apariencia de trabalenguas que pueden adoptar algunas de estas expresiones. El OBJETO SEMIÓTICO es cualquier objeto del mundo tal como nos lo han enseñado a ver en determinado momento.
La utilidad metodológica de diferenciar entre el OBJETO SEMIÓTICO y la SEMIOSIS SUSTITUIDA es que permite identificar a esta última como LO NUEVO que podemos conocer de ese objeto porque ESTAMOS PERCIBIENDO, así, dicho EN UN PRESENTE CONTINUO, una SEMIOSIS SUSTITUYENTE que le añade algo, lo construye de otro modo, transforma su significado de modo que ya no es el anterior sino otro diferente. O sea, la SEMIOSIS SUSTITUIDA es un nuevo modo de ver y de interpretar al OBJETO SEMIÓTICO; o sea, es cualquier objeto del mundo al que se lo construye, se lo ve, se lo interpreta desde otra SEMIOSIS SUSTITUYENTE que, por tanto, LE ATRIBUYE UN NUEVO SIGNIFICADO.
Pero, ¿qué es lo que hace que esa SEMIOSIS SUSTITUYENTE sea OTRA y no ya aquella con la que históricamente (aunque sea la historia que media entre el tiempo de lectura de un párrafo y el del otro párrafo que le sigue, cuando el cambio justifica que se hable de "historia") se había construido el significado de lo que habíamos llegado a conocer? Esa alteridad de la SEMIOSIS SUSTITUYENTE consiste, de modo necesario y suficiente, en una TRANSFORMACIÓN DE LA SINTAXIS con la que se relacionaban los signos que constituían cada uno de los contextos de la precedente (o de cada una de las precedentes) SEMIOSIS SUSTITUYENTE(S). Pero la SINTAXIS es la réplica o materialización del VALOR del signo en su respectivo sistema, y este concepto de "valor" es el que constituye en científica a la lingüística saussureana.
Saussure no quiso entrar en el estudio del habla; todo lo que después se desarrolló en la pragmática. Por eso no estudia el cambio, sino la situación (una diacronía es el resultado de la transformación identificable entre dos sincronías). Si aceptamos la visión acerca del INTERPRETANTE que propone Peirce (y en la que se basa todo lo que vengo diciendo) podemos explicar el cambio, no sólo EN EL SISTEMA DE SIGNOS desde el que se construye DIFERENCIALMENTE cada contexto de SEMIOSIS SUSTITUYENTE, sino en el significado que adquieren LOS FENÓMENOS DEL MUNDO (significado que los constituye a su vez en SIGNOS de algún sistema); en cuanto HAN ADQUIRIDO los significados que les construyó determinada SEMIOSIS SUSTITUYENTE los podemos identificar como OBJETOS SEMIÓTICOS, o sea, fenómenos semantizados. En cuanto, por la eficacia de (la sintaxis de) cada SEMIOSIS SUSTITUYENTE, tales fenómenos del mundo modifican el significado que tenían anteriormente y en cuanto el INTÉRPRETE está elaborando esa propuesta nueva de significado, al objeto que ese intérprete está interpretando es al que podemos denominar "SEMIOSIS SUSTITUIDA".
Ya sé que todavía quedan aspectos por aclarar, pero voy a sintetizar lo dicho hasta aquí:
Una SEMIOSIS SUSTITUYENTE es un contexto de signos, vigente en determinada sociedad, que, en virtud de la SINTAXIS que relaciona a los signos constitutivos de tal contexto, SE APLICA A ALGO DIFERENTE de ella misma, atribuyéndole de ese modo un determinado significado.
Un OBJETO SEMIÓTICO es una entidad o fenómeno del mundo que, en determinado momento de determinada sociedad, HA ADQUIRIDO UN DETERMINADO SIGNIFICADO por la acción eficaz de una SEMIOSIS SUSTITUYENTE que se lo atribuye, en la mente de determinado intérprete.
Una SEMIOSIS SUSTITUIDA es EL SIGNIFICADO MODIFICADO de una entidad o fenómeno del mundo, que está siendo producido por una SEMIOSIS SUSTITUYENTE al constituirse en SIGNO de esa entidad o fenómeno del mundo. Toda SEMIOSIS SUSTITUIDA está destinada necesariamente a transformarse en un OBJETO SEMIÓTICO, en cuanto ya queda admitida como la significación (que ha entrado en la historia) de determinada entidad o fenómeno del mundo; hasta que una nueva SEMIOSIS SUSTITUYENTE sea capaz de atribuirle un nuevo significado, con lo que se constituye en otra SEMIOSIS SUSTITUIDA que, en cuanto socialmente reproducible, pasa a ser un OBJETO SEMIÓTICO histórico hasta que una nueva SEMIOSIS SUSTITUYENTE genere otra SEMIOSIS SUSTITUIDA en cuanto nuevo objeto de conocimiento para la mente de un intérprete.
La base peirceana de esta reflexión puede encontrase en la RELATIVA correspondencia entre:
1/ SEMIOSIS SUSTITUYENTE e INTERPRETANTE INMEDIATO, en cuanto el esquema que actualiza al signo (o conjunto de signos) en la mente del intérprete (o sea, su eficacia representativa);
2/ SEMIOSIS SUSTITUIDA e INTERPRETANTE DINÁMICO, en cuanto el efecto efectivamente producido en la mente por el signo (o sea, el nuevo significado);
3/ OBJETO SEMIÓTICO e INTERPRETANTE NORMAL (o ÚLTIMO o FINAL), en cuanto el efecto que se producirá en la mente por el signo, después de suficiente desarrollo del pensamiento (o sea, el significado histórico).
Cordialmente.
Juan Magariños de Morentin
Message 1425
Thu Oct 11, 2001 2:10 pm
Norman Ahumada
Desarrollos peirceanos 16
Semiosis sustituyente - semiosis sustituida - objeto semiótico
Estimado Juan:
Su propuesta de SEMIOSIS SUSTITUYENTE, SEMIOSIS SUSTITUIDA y OBJETO SEMIOTICO es felizmente coincidente con la idea de JUICIOS SEMIOTICOS Y JUICIOS FACTUALES (además de los asertos) que desarrolla Eco en su Tratado de Semiótica General. Efectivamente, Eco señala que "...llamamos SEMIOTICO a un juicio que predica de un contenido determinado las marcas semánticas que ya le ha atribuido un código preestablecido; y llamamos FACTUAL a un juicio que predica de un contenido determinado marcas semánticas que no le haya atribuido previamente el código".
Si por SEMIOSIS debo entender "el proceso mediante el cual algo se convierte en signo", entonces se habla no de predicados, sino de la idea puntual o contenido conocido (a veces referencial) puesta en relación por alguien con un significante determinado y que puede cambiar (el significante) cuando esta idea sufre un cambio, y por lo tanto ya estamos hablando prácticamente de otro signo?
Cordialmente,
Norman Ahumada
Message 1507
Thu Nov 8, 2001 7:19 am
"Eduardo Serrano Orejuela"
Desarrollos peirceanos 17
Grupo de estudios peirceanos
Cordialmente,
Eduardo
Mensaje 2093
Mar Jun 11, 2002 12:14 pm
Gastón Cingolani
Desarrollos peirceanos 18
Objeto peirceano
Estimados Semioticians (en especial R.Marty, quien viene tratando el tema), si fuera posible, quisiera que me brinden algun asesoramiento sobre lo que Peirce entiende como el objeto. Más allá de la distinción entre objeto inmediato y objeto dinámico o dinamoide, estoy buscando los límites o los alcances de qué puede ser un objeto para Peirce. Por ejemplo (es sólo UN ejemplo), ver hasta dónde (o hasta dónde no) coinciden Objeto y "referente" (para otras semiologías). Qué me recomiendan leer? He repasado varios textos de Peirce, y no encontré que se extienda más allá de la distinción entre los dos objetos mencionados. Sale de ello en algún momento, extendiéndose más sobre qué es un objeto en su teoría? A esto hay que sumarle las lecturas muy particulares que hacen otros autores sobre la lógica-semiótica de Peirce, que no siempre parecen ajustarse a él. Desde ya, muchas gracias por el aporte, y disculpen el largo de la consulta.
Gastón Cingolani
La Plata - Arg.
Mensaje 2097
Mar Jun 11, 2002 4:50 pm
Norman Ahumada
Desarrollos peirceanos 19
Objeto peirceano
Gastón:
Uno de los que más me ayudó a aclarar el concepto de 'objeto' peirciano fue Umberto Eco en su Tratado de Semiótica General. En la misma obra establece la posibilidad de que un objeto tenga o no un referente, lo que nos lleva a deducir la diferencia entre ambos. Si tomamos la idea de 'objeto' como una unidad cultural, se nos evidenciará aún más lo innecesario del referente para la existencia del 'objeto'.
En alguna medida, Charles Morris también ayuda a establecer esta diferencia con sus 'designatum' y 'denotatum': el primero es un 'objeto' sin referente (como la idea universal de 'madre', que no corresponde a ninguna mujer en particular); el segundo es un 'objeto' CON un referente concreto (como la idea o recuerdo de una madre en particular, la mía, por ejemplo). En otras palabras, se habla de conjuntos, en el primer caso, y de miembros del conjunto, en el segundo.
No fue muy profundo lo que te escribí, pero es un punto de partida.
Cordialmente,
Norman Ahumada
Mensaje 2099
Mar Jun 11, 2002 4:58 pm
"francisco umpiérrez sánchez"
Desarrollos peirceanos 20
Objeto peirceano
Estimados compañeros:
No estoy recibiendo mensajes.
He recibido varios errores topmail.
Si alguien me ha enviado un mensaje y no he respondido, ha sido porque no lo he recibido.
Quisiera saber si algún miembro de Semioticians tiene traducido al español las 76 definiciones de signo de Peirce propuestas por Robert Marty.
Mi ingles es muy deficiente y mi francés es nulo.
Si alguien tiene ese material y me lo suministra, se lo agradecería muchísimo.
Un cordial saludo,
Francisco Umpiérrez
Mensaje 2100
Mar Jun 11, 2002 7:09 pm
Susana Rodriguez
Desarrollos peirceanos 21
Objeto peirceano
Estimado FRancisco: tengo un libro de Claude Marty y Robert Marty "La semiótica, 99 respuestas" publicado por Edicial en 1995. No sé si ese es el que aludes ¿cómo podría enviártelo (una copia, of course)?, yo estoy en Salta, norte de Argentina! Cariños, Susana
Mensaje 2101
Mié Jun 12, 2002 4:21 am
"robert marty"
Desarrollos peirceanos 22
Objeto peirceano
Aqui esta el libro (en forma hipertextual):
http://www.univ-perp.fr/see/rch/lts/marty/accesosp.htm
y tambien las 76 definiciones del signo por Peirce en Inglés y mi analisis traducida al castellano por Sergio CAGGIANO, Eleonora LANGARD, Paula MORABES, Mariana SPERONI, supervision María del Carmen SAINT-PIERRE, Juán Magariños de Morentin siendo a la iniciativa del todo.
Mensaje 2102
Mié Jun 12, 2002 4:49 am
Joëlle Rethore
Desarrollos peirceanos 23
Objeto peirceano
Chers collègues,
Je ne suis pas certaine de vous avoir informés de la publication par les Presses Universitaires de Perpignan d'un ouvrage qui constitue les actes du colloque organisé par nous en juin 2001 à Canet en Roussillon.
Vient de paraître aux Presses Universitaires de Perpignan:
SEMIOTIQUE PEIRCIENNE / ETAT DES LIEUX
Actes du colloque international du 27 au 30 juin 2001
Textes réunis par Tony Jappy et Joëlle Réthoré
Un volume de 175 pages,
Prix public 13 euros, frais de port 3,20 euros
Commandes à adresser à :
Presses Universitaires de Perpignan,
52, avenue de Villeneuve,
66860 Perpignan Cedex
Règlements à adresser à l'ordre de :
Mme le Régisseur des Presses Universitaires de Perpignan
L'ouvrage rassemble les contributions en français ou en traduction française de sémioticiens français ou étrangers (Brésil, Maroc, Etats-Unis) ayant participé au colloque international du même nom qui s'est tenu à Canet-en-Roussillon du 27 au 30 juin 2001. Les textes réunis permettront au lecteur de retrouver dans le cadre de la sémiotique peircienne l'état actuel de cette pensée dans des domaines disciplinaires variés: la psychiatrie et la psychanalyse ; les sciences du langage ; la pédagogie ; l'art, la littérature et la musique.
Sommaire :
Claudine Normand (U. de Paris 9) : "Souvenirs de la table ronde"
Pierre Delion (Centre hospitalier d'Angers) : "Mécanismes autistiques et modélisation sémiotique peircienne"
Michel Balat (U. de Perpignan) : "Autour de la sémiose"
Elmehdi Kaddhouri (U. d'Oudja, Maroc) : "Les récits de rêve de l'inscription à l'interprétation"
Joëlle Réthoré (U. de Perpignan) : "Le sens du langage versus le non sens des langues : iconicité versus arbitrarité"
Alain Ducron (Perpignan) : "L'élève-auteur : un sujet à la source d'une communauté sémiotique"
Joëlle Cordesse (Perpignan) : "Pour une approche anthropologique de la pédagogie des langues et de la formation"
Tony Jappy (U. Perpignan) : "Propos sur l'allégorie"
Francesca Caruana (U de Toulouse-Le-Mirail) : "Art-chaïque, sujet de modernité"
Marilia Laboissière (U. de Sao Paolo, Brésil) : "La musique, un complexe de significations"
Catherine Darnaudet-Rabier (Perpignan) : "A propos de la réception de l'oeuvre de Jean Forton"
Robert E. Innis (U. de Massachusetts, Lowell) : "La perception, l'interprétation et les signes artistiques"
Jean-Pierre Kaminker (U. de Perpignan) : "En guise de conclusion"
Pour ceux que cela peut intéresser - les linguistes, notamment-, nous rappelons que les textes (non-révisés) en anglais, qui paraîtront à l'automne aux éditions Berghahn, peuvent encore être consultés sur le site web du colloque (rubrique "participants") :
http://www.univ-perp.fr/csp2001/
Victor Friedman, Univesity of Chicago, US: "Interrogation and Nonconfirmativity: A Peircean Approach to the Intersection between Expressive Past and Present".
Robert Innis, University of Massachusetts, Lowell, US: "Perception, Interpretation and the Signs of Art".
Laura Janda, University of North Carolina, Chapel Hill, US: "Cognitive Hot Spots in the Russian Case System".
Tony Jappy, University of Perpignan, France: "Indication, Iconicity, Grammaticalization and the Categories".
Jörgen Dinès Johansen, University of Southern Denmark, Odense, Denmark: "Iconizing Literature".
Dan Nesher, University of Haifa, Israel: '"Our Senses as Reasoning Machines" Prove Our Perceptual Judgments are True Representations of External Reality'.
João Queiroz, University of Sao Paolo, Brazil: "The Biological Substrate of Icons, Indexes and Symbols in Animal Communication: a Neurosemiotic Analysis of Vervet Monkey Alarm-calls".
Joëlle Réthoré, University of Perpignan, France: "The Sense of Language (as langage) and the Nonsense of Languages (as langues): Iconicity versus Arbitrariness".
Michael Shapiro, Brown University, US: "Aspects of a Neo-Peircean Linguistics: Language History as Linguistic Theory".
Nils Thelin, University of Oldenburg, Sweden: "Biopragmatism, Space/Time Cognition, and the Sense of Language".
Bien cordialement,
Tony Jappy et Joëlle Réthoré
Joëlle Réthoré
Directrice de l'IRSCE
Université de Perpignan
52 Av. de Villeneuve
bât P3
66860 Perpignan Cedex
tél 33 (0)4 68 66 74 25
fax 33 (0)4 68 50 12 89
Mensaje 2103
Mié Jun 12, 2002 4:32 am
Joëlle Rethore
Desarrollos peirceanos 24
Objeto peirceano
Chers collègues,
En 1991, nous avons organisé un colloque en hommage à Gérard Deledalle, sur le thème de "L'Objet". Les actes ont été publiés par the European Journal for Semiotic Studies/Revue Européenne d'Etudes sémiotiques (ISSS, Vienna, Austria, ed. J. Bernard), vol. 5 - 1, 2, 1993, sous le titre "Variations sur l'objet, En hommage à Gérard Deledalle".
Ont participé au colloque et à l'ouvrage (éd. J. Réthoré) : 1. L'objet en philosophie : K.O. Apel, A. Krémer-Marietti, P. Thibaud, J.D. Johansen, H. Parret ; 2. L'objet en création : J. Fisette, S. E. Larsen, E. Walther, F. Caruana ; 3. Situation de la Sémiotique en Autriche, Croatie, République Tchèque et Slovaquie : G. Withalm et J. Bernard, V. Biti, J. Doubravova ; 4. L'objet en linguistique : C. Normand, J. Rey-Debove, J. Lavédrine, B. Gardin, J.P. Kaminker, T. Jappy, J. C. Coquet, P. Siblot, B.N. Grunig, P. Cotte.
Vous reconnaîtrez parmi les auteurs le nom d'un certain nombre de chercheurs peirciens.
Bien cordialement
Joëlle Réthoré
Directrice de l'IRSCE
Université de Perpignan
52 Av. de Villeneuve
bât P3
66860 Perpignan Cedex
tél 33 (0)4 68 66 74 25
fax 33 (0)4 68 50 12 89
Mensaje 2380
Lun Ago 19, 2002 2:00 am
Eduardo Serrano Orejuela
Desarrollos peirceanos 25
Página recomendada
http://www.unav.es/gep/AN/ANIndice.html
C.S. Peirce y la abducción.
Analogía Filosófica XII/1 (1998)
Cordialmente,
Eduardo
Mensaje 2498
Sáb Oct 12, 2002 3:12 pm
Ruben Lopez Cano
Desarrollos peirceanos 26
La inferencia como abducción
Hola Aníbal (con tilde):
Sobre los procesos de inferencia en semiótica sobre todo desde una dimensión heurístico-productiva tienes que buscar en el concepto de abducción de Peirce.
En semiótica, la Abducción no se refiere a contactos con extraterrestres (desafortunadamente los UFÓlogos emplean el mismo término cuando un ser humano es capturado por un plato volador...).
Se trata de un tipo de inferencia vecina de la inducción (inferencia de una regla a partir de una serie de casos que producen un resultado similar), alejada de la deducción (inferencia de un resultado a partir del conocimiento de una regla que se aplica a un caso específico) pero que constituye un caso especial y arriesgado (se hipotiza de forma operativa la regla a partir de un resultado específico pero sin la copresencia de varios casos homogéneos).
En realidad las inferencias abductivas semióticas son mucho más común de lo que pensamos (y más estudiables que las de los UFÓlogos). Las hacemos todo el tiempo para desambiguar y comprender situaciones específicas.
OJO: El concepto de heurístico te hará referirte a partes iniciales de procesos inferenciales, fases operativas no sistemáticas y difícil de domesticar por medio de lógicas lineales.
Puedes encontrar artículos interesantes sobre el tema en Arisbe: International Peirce Telecommunity que dirige Josep Ransdell.
http://members.door.net/arisbe/arisbe.htm
Algunos artículos On line disponibles som los siguientes (los he encontrado en mi linkoteca personal pero no puedo darte una opinión documentada con respecto a su contenido pues no los he estudiado a fondo, agradecería tu comentario):
http://seamonkey.ed.asu.edu/~alex/pub/Peirce/Logic_of_EDA.html
http://cogsci.uwaterloo.ca/Articles/Pages/Abductive.html
El texto de referencia es el clásico escrito por los Sebeock:
Sebeock, J. A., y J. Uniker Sebeock: You Know My Method: A juxtaposition of Charles Peirce & Sherlock Holmes. Indianapolis, Gaslight Publications, 1979 (existe Traducción al castellano).
Puedes obtener información sobre diferentes tipos de abducción en
ECO, Umberto 1990 Los límites de la interpretación; Barcelona: Lumen; 1992.
Un par de conceptos desarrollados por la inteligencia artificial que son muy útiles para la la determinación de mapas situacionales que determinan o proveen las constricciones que limitan las inferencias posibles en situaciones determinadas son los de marco (Frame) y Guión (script).
A propósito puedes consultar:
SCHANK, Roger y ABELSON, R. P. 1977 Guiones, planes, metas y entendimiento; Barcelona: Gedisa; 1988.
MINSKY, Marvin 1975 "A framework for representing knowledge" en WINSTON, Patrick ed.; The Psicology of computer vision; Nueva York: Mc Graw-Hill. 1985 The society of mind; Nueva York: Simon & Schuster.
(Minski tiene una página web personal muy útil, no tengo la dirección a mano, pero no es difícil de encontrar)
Es estos artículos hablo un poquito de estas nociones:
http://www.geocities.com/lopezcano/articulos/EGL.html
http://www.geocities.com/lopezcano/Expresive.htm
Un abrazo
Rubén López Cano
=====
Rubén López Cano http://www.geocities.com/lopezcano/index.html
Mensaje 3115
Mar Feb 25, 2003 11:38 am
Juan Magariños
Desarrollos peirceanos 27
Peirce - Museo
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
No dejo de lado el análisis de SEMÁNTICA VISUAL sobre el que venía trabajando, pero, incidentalmente, he tenido que desarrollar el SIGNO DE PEIRCE aplicado al análisis de determinadas entidades que son objeto temático de investigaciones en curso y me parece oportuno hacer un paréntesis para compartir y discutir algunos resultados.
Al análisis peirceano se lo considera DIFÍCIL. Lo es, al menos hasta que se adquiere cierta familiaridad con él. Yo propongo el siguiente intercambio: aquí les ofrezco un análisis, DE COMPLEJIDAD CRECIENTE, a partir de la estructura triádica del signo peirceano, cerca del objeto temático de investigación: MUSEO (solicito a los integrantes del EQUIPO DE INVESTIGACIÓN SOBRE EL MUSEO y a quienes me han escrito para participar en el EQUIPO VIRTUAL SOBRE EL MUSEO, que lo lean con especial atención, ya que, tras las discusiones correspondientes, puede constituir el esquema de trabajo para este año).
Vosotras/os, estimadas/os SEMIOTICIANS, podríais seguir las pautas de desarrollo que aparecen en el texto que sigue, aplicándolas a algún tema que estéis trabajando o en el que estéis interesados en investigar. Cada uno puede aportar su propuesta y leerla, comentarla, discutirla entre todos. Claro, somos más de 700, pero estoy seguro de que no todos vamos a participar; ojalá me equivoque.
De todas formas, no creo que con sólo leer mi trabajo (empírico y de aplicación) podáis utilizarlo para vuestro propio análisis. Quizá sí. Pero me parece que el conocimiento de la estructura teórica del pensamiento peirceano es necesario. Ya hay bastante escrito sobre el Signo de Peirce. Como sabéis, en www.archivo-semiotica.com , está mi texto EL SIGNO, la segunda de cuyas partes consiste justamente en la exposición de la estructura triádica originaria de Peirce. Quienes ya tienen una cierta base teórica peirceana, creo que están en perfectas condiciones para utilizarlo; para los que no la tienen puede ser como un primer paseo por el bosque, donde puedo asegurarles que NO ESTÁ EL LOBO.
Hay que tener en cuenta que NO EXISTE UN SOLO MODO VÁLIDO de desarrollar este esquema. Más bien, EXISTEN TODAS LAS VARIANTES que admite cada objeto o enfoque analítico del objeto que se estudie, SIEMPRE QUE SE CONSERVE LA LÓGICA DE LA ESTRUCTURA TRIÁDICA.
O sea, mi esquema acerca del MUSEO no es el único válido (aparte de eventuales deslizamientos lógicos en los que puedo haber incurrido), es sólo una interpretación posible.
Aconsejaría no convertirlo en un MERO EJERCICIO LÓGICO, sino utilizar el despliegue de aspectos y características que va generando el análisis como INSTRUMENTO PARA LA DETECCIÓN DE ASPECTOS INTERESANTES, DE RELACIONES SIGNIFICATIVAS, DE POSIBILIDADES ABDUCTIVAS (o sea, extracción de ideas y puntas de exploración, a partir de los conocimientos conscientes y no tanto, y de la propia experiencia) que pueden orientar o enriquecer una determinada investigación.
Supongo que seguiremos comunicándonos sobre este tema, ya que son muchos los aspectos que suscitarán dudas y problemas, con lo que SEMIOTICIANS continuará tomando la configuración de una GRAN MESA DE DEBATE Y DE GENERACIÓN DE IDEAS CREATIVAS (y hasta creadoras).
No excluyo la posibilidad de que, alguna/o de vosotras/os decida, en virtud del principio de la SEMIOSIS INFINITA, continuar la expansión y multiplique cada uno de estos 27 signos por 3 (su respectiva FORMA, EXISTENCIA y VALOR), con lo que se alcanzaría la notable cifra de 81 matices - variaciones del signo que esté estudiando.
Creo que ciertos rasgos que utilizo en el original de este mensaje, para realzar o destacar el texto, como el uso de tamaños diferentes de letra y de negrita y cursiva, se pierden en la forma con la que se reciben los mensajes. Por eso, habitualmente, acudo al uso de MAYÚSCULAS para resaltar algunas expresiones, ya que son las únicas que sé que llegan tal como las escribo. De todas formas, este mismo texto, con sus variaciones tipográficas (muy pocos y no sustanciales) lo he subido a la OTRA página:
http://go.to/centro-investigaciones-semioticas
en cuyo ÍNDICE podéis encontrarlo, con el hipervínculo "Peirce-Texto-Museo".
Cordialmente,
Juan
-----------------------------------------
PEIRCE - MUSEO
SIGNO TRIÁDICO
----------
[Analítico 1: las 3 partes del signo -FORMA, EXISTENCIA, VALOR-]
1.2 EXISTENCIA DE LA FORMA: ICONO
[5] DISEÑO DE LA EXHIBICIÓN EFECTIVAMENTE DIBUJADO
2.2 EXISTENCIA DE LA EXISTENCIA: ÍNDICE
[14] LA EXHIBICIÓN
3.2 EXISTENCIA DEL VALOR: SÍMBOLO
[23] LA INTERPRETACIÓN EFECTIVAMENTE PRODUCIDA EN LA MENTE DE LOS VISITANTES A LA EXHIBICIÓN
----------
[Analítico 2: los 9 signos (3 -FORMA, EXISTENCIA, VALOR- por cada uno de los 3 anteriores)]]
1. NIVEL ICÓNICO:
1.1 FORMA DE LA FORMA: CUALISIGNO
[2] EL DISEÑO POSIBLE DE DETERMINADA EXHIBICIÓN
1.2 EXISTENCIA DE LA FORMA: ICONO
[5] DISEÑO EFECTIVAMENTE DIBUJADO
1.3 VALOR DE LA FORMA: RHEMA
[8] EFICACIA REPRESENTATIVA DEL DISEÑO DIBUJADO
2 NIVEL INDICIAL:
2.1 FORMA DE LA EXISTENCIA: SINSIGNO
[11] LA FORMA DE LA EXHIBICIÓN
2.2 EXISTENCIA DE LA EXISTENCIA: ÍNDICE
[14] LA EXHIBICIÓN
2.3 VALOR DE LA EXISTENCIA: DICISIGNO
[17] EL VALOR CONJUNTO DE LA EXHIBICIÓN
3 NIVEL SIMBÓLICO:
3.1 FORMA DEL VALOR: LEGISIGNO
[20] LAS INTERPRETACIONES QUE SON POSIBLES PARA LOS VISITANTES
3.2 EXISTENCIA DEL VALOR: SÍMBOLO
[23] LA INTERPRETACIÓN EFECTIVAMENTE PRODUCIDA EN LA MENTE DE LOS VISITANTES
3.3 VALOR DEL VALOR: ARGUMENTO
[26] EL VALOR DIALÉCTICO DE LAS INTERPRETACIONES PRODUCIDAS EN LA MENTE DE LOS VISITANTES
----------
[Analítico 3: los 27 signos (3 -FORMA, EXISTENCIA, VALOR- por cada uno de los 9 anteriores)]
1. NIVEL ICÓNICO
1.1 FORMA DE LA FORMA: CUALISIGNO
[1] FORMA DEL CUALISIGNO: CUALIDADES FORMALES SELECCIONADAS
[2] EXISTENCIA DEL CUALISIGNO: EL DISEÑO POSIBLE DE DETERMINADA EXHIBICIÓN
[3] VALOR DEL CUALISIGNO: SISTEMA DE CUALIDADES FORMALES DISPONIBLES
1.2 EXISTENCIA DE LA FORMA: ICONO
[4] FORMA DEL ICONO: RASGOS PERCEPTUALES UTILIZADOS
[5] EXISTENCIA DEL ICONO:DISEÑO EFECTIVAMENTE DIBUJADO
[6] VALOR DEL ICONO:EL VALOR DEL DISEÑO EN FUNCIÓN DE LO EXHIBIBLE
1.3 VALOR DE LA FORMA: RHEMA
[7] FORMA DEL RHEMA: VALOR EXPRESIVO DE LOS RASGOS UTILIZADOS
[8] EXISTENCIA DEL RHEMA: EFICACIA REPRESENTATIVA DEL DISEÑO DIBUJADO
[9] VALOR DEL RHEMA:VALOR DIFERENCIAL DEL DISEÑO ELEGIDO
2 NIVEL INDICIAL:
2.1 FORMA DE LA EXISTENCIA: SINSIGNO
[10] FORMA DEL SINSIGNO:LA FORMA EN QUE ESTÁ DISPUESTO CADA UNO DE LOS OBJETOS
[11] EXISTENCIA DEL SINSIGNO: LA FORMA DE LA EXHIBICIÓN
[12] VALOR DEL SINSIGNO: LA FORMA SECUENCIAL DEL RECORRIDO
2.2 EXISTENCIA DE LA EXISTENCIA: ÍNDICE
[13] FORMA DEL ÍNDICE: LOS OBJETOS EXHIBIDOS
[14] EXISTENCIA DEL ÍNDICE: LA EXHIBICIÓN
[15] VALOR DEL ÍNDICE: EL RECORRIDO
2.3 VALOR DE LA EXISTENCIA: DICISIGNO
[16] FORMA DEL DICISIGNO: EL VALOR ATRIBUIDO A LA FORMA DE CADA OBJETO AL EXHIBIRLO
[17] EXISTENCIA DEL DICISIGNO: EL VALOR CONJUNTO DE LA EXHIBICIÓN
[18] VALOR DEL DICISIGNO: EL VALOR PARTICIPATIVO DEL RECORRIDO
3 NIVEL SIMBÓLICO:
3.1 FORMA DEL VALOR: LEGISIGNO
[19] FORMA DEL LEGISIGNO: LA POSIBILIDAD DE ESTABLECER DETERMINADAS RELACIONES INTERPRETATIVAS
[20] EXISTENCIA DEL LEGISIGNO: LAS INTERPRETACIONES QUE SON POSIBLES PARA LOS VISITANTES
[21] VALOR DEL LEGISIGNO: LOS HÁBITOS INTERPRETATIVOS POSIBLES DE LOS VISITANTES
3.2 EXISTENCIA DEL VALOR: SÍMBOLO
[22] FORMA DEL SÍMBOLO: CADA UNA DE LAS RELACIONES INTERPRETATIVAS EFECTIVAMENTE ESTABLECIDAS
[23] EXISTENCIA DEL SÍMBOLO: LA INTERPRETACIÓN SINTÉTICA EFECTIVAMENTE PRODUCIDA EN LA MENTE DE LOS VISITANTES A LA EXHIBICIÓN
[24] VALOR DEL SÍMBOLO: EL HÁBITO INTERPRETATIVO
3.3 VALOR DEL VALOR: ARGUMENTO
[25] FORMA DEL ARGUMENTO: EL VALOR COGNITIVO DE LAS RELACIONES INTERPRETATIVAS
[26] EXISTENCIA DEL ARGUMENTO: EL VALOR DIALÉCTICO DE LAS INTERPRETACIONES PRODUCIDAS EN LA MENTE DE LOS VISITANTES
[27] VALOR DEL ARGUMENTO: LA SUPERACIÓN DE LOS HÁBITOS INTERPRETATIVOS PRECEDENTES
Juan Magariños de Morentin
Mensaje 4080
Sáb Nov 22, 2003 12:50 pm
"Eduardo Serrano Orejuela"
Desarrollos peirceanos 28
Peirce en la web
Comunicación y semiótica: Un acercamiento a la obra de Charles S. Peirce:
http://www.cem.itesm.mx/dacs/publicaciones/logos/anteriores/n21/index.html
Cordialmente,
Eduardo
----------
Visita
Semiotica Discursiva:
www.geocities.com/semiotico
Mensaje 4094
Mié Nov 26, 2003 3:14 pm
"Pablo Romero" Grupo de Estudios Peirceanos [mailto:UNAV-GEP@UNAV.ES] En nombre de Juan Marrodan
Desarrollos peirceanos 29
Peirce en la web
Estimados colegas,
En este envio damos noticia de una nueva traduccion en la seccion de la web "Peirce en espanol", de la instalacion en la seccion de "Articulos on-line" de la primera publicacion sobre Peirce en lengua espanola, en 1892, y de algunas noticias que nos envian desde Montevideo.
Un cordial saludo,
Juan Marrodan
-------------------------------------------------------------------
1. NUEVA TRADUCCION EN LA WEB: "Como teorizar (Sobre la seleccion de hipotesis)" (1903)
Acabamos de instalar en la web la traduccion castellana, realizada por Sara F. Barrena (sbarrena@unav.es) , de un fragmento del MS 475 que corresponde a las paginas 28-92 del manuscrito de la octava conferencia, "How to Theorize", que Peirce impartio en el Lowell Institute de Harvard en 1903. El texto traducido fue incluido en los "Collected Papers" 5.590-604, bajo el titulo "On Selecting Hypotheses".
Se trata de un texto muy interesante. En particular destacariamos dos fragmentos de los ultimos paragrafos que transcribimos aqui:
"Si el hombre no tuviera el don, que todos los demas animales tienen, de una mente adaptada a sus necesidades, no solo no habria podido adquirir ningun conocimiento, sino que no habria podido mantener su existencia ni siquiera durante una generacion. Pero esta dotado de ciertos instintos, esto es, de ciertas creencias naturales que son verdaderas. Tienen que ver en parte con fuerzas, en parte con la accion de las mentes. La manera en la que llega a tener este conocimiento me parece bastante clara. Ciertas uniformidades, es decir, ciertas ideas generales de accion, prevalecen por todo el universo y la mente que razona es en si misma un producto de ese universo. De esa manera esas mismas leyes se incorporan, por necesidad logica, a su propio ser".
"De esta forma, consideraciones generales relativas al universo, consideraciones estrictamente filosoficas, no hacen sino demostrar que si el universo se ajusta, con alguna aproximacion a la exactitud, a ciertas leyes altamente generalizadas, y si la mente del hombre se ha desarrollado bajo la influencia de esas leyes, ha de esperarse que tenga una 'luz natural', o 'luz de la naturaleza', o 'intuicion [insight] instintiva', o genio, que tienda a hacerle adivinar esas leyes correctamente, o casi correctamente. Esta conclusion se confirma cuando encontramos que cada especie animal esta dotada de un genio similar. [...] Miren a esos pequenos pajaros, de los que todas las especies son casi identicos en su psique, y sin embargo, que formas diversas de genio no exhiben al modelar sus nidos? Esto seria imposible a no ser que las ideas que son naturalmente predominantes en sus mentes fueran verdaderas. Seria demasiado contrario a la analogia suponer que al hombre le faltan dones similares. Tampoco se detiene aqui la prueba.
La historia de la ciencia, especialmente la historia temprana de la ciencia moderna, sobre la que tuve el honor de dar algunas conferencias en este salon hace algunos anos, completa la prueba al mostrar que pocas eran las conjeturas que el hombre de genio insuperable tenia que hacer antes de adivinar correctamente las leyes de la naturaleza".
El texto completo esta accesible en http://www.unav.es/gep/ComoTeorizar.html
-------------------------------------------------------------------
2. EL PRIMER ARTICULO ESPANOL SOBRE PEIRCE: Ventura Reyes y Prosper, 1892
El primer rastro de C. S. Peirce en la bibliografia hispanica es el articulo "Charles Santiago Peirce y Oscar Howard Mitchell" que el matematico toledano Ventura Reyes y Prosper (1863-1922) publico en 1892 en la revista espanola de matematicas "El Progreso Matematico". Para preparar este articulo Reyes Prosper habia escrito a Peirce pidiendole sus publicaciones recientes. Se conserva esta carta, fechada el 5 de marzo de 1890, en la Houghton Library (L 372). No se ha encontrado hasta la fecha la carta de contestacion de Peirce, pero en cambio en la Biblioteca de Matematicas del Consejo de Investigaciones Cientificas en Madrid se conservan el libro y las separatas enviadas por Peirce junto a los demas libros de Reyes Prosper.
El lector curioso se fijara en la nota que escribe Prosper en su articulo: "Aunque parezca estrano (sic), el primer nombre esta en ingles y el segundo en espanol, ignoro porque". Muy probablemente la carta mediante la que Peirce enviaba sus publicaciones estaba firmada como "Charles Santiago Peirce". Si se encontrara esta carta seria el testimonio de una de las primeras ocasiones en las que Peirce empleo el nombre "Santiago" en lugar del "Sanders".
Puede encontrarse amplia informacion sobre Reyes Prosper y esta correspondencia en el articulo de Jaime Nubiola y Jesus Cobo instalado en Arisbe en
http://members.door.net/arisbe/menu/library/aboutcsp/nubiola/reyes.htm
Transcribimos aqui los primeros y ultimos parrafos del articulo de Reyes Prosper de 1892. Puede verse el texto completo en
http://www.unav.es/gep/ReyesProsper.html
"Voy a presentar una ligera resena de los trabajos logico-matematicos de tan distinguidos sabios norteamericanos, ocupandome a la vez de ambos, porque han ejercido el uno sobre el otro una accion reciproca. El gran logico Santiago Peirce ha sido el maestro de Mitchell y a su vez los trabajos de este han tenido gran influencia sobre los ultimos de su insigne profesor.
Charles Santiago Peirce es el hijo de uno de los más distinguidos matemáticos americanos, el profesor Benjamin Peirce, de la Universidad de Harvard.
Padre e hijo han enriquecido a la ciencia con numerosas notas y trabajos insertos en diferentes publicaciones cientificas y con especialidad en las memorias y actas de las sociedades y academias de America, habiendo contribuido ambos a la tarea de crear y dar caracter a la ciencia americana, librandola de ser tributaria de la europea.
Prescindiendo de los trabajos del padre, de los cuales uno solo, a lo que yo sepa, puede tener relacion con la Logica de los relativos (me refiero a su admirable libro 'Linear associative algebra'), voy a indicar ligeramente los meritos del hijo ante la Logica, objeto preferente de sus estudios, aunque ciertamente no le son estranas otras muchas ciencias.
Santiago Peirce ha sacado a lo que supongo su instruccion logica principalmente de los escritos del egregio matematico y logico Augustus De Morgan, por quien profesa tal admiracion que declara en uno de sus escritos parecerle ser (como lo es en efecto) uno de los mayores logicos que hayan nunca existido. Peirce es el heredero de De Morgan, y su mayor titulo de gloria son sin duda sus trabajos sobre la Logica de los relativos, de la que el logico ingles fue padre.
[...]
Reciba el Sr. Peirce, con las escusas por los errores en que haya incurrido, un testimonio de admiracion sincera que desde el otro lado de los mares le envia un extranjero. Dios quiera que pronto amanezca 'el hermoso día en que alguien ilumine con un rayo de luz las múltiples cuestiones de la lógica de los relativos'".
--------------------------------------------------------------------
3. NOTICIAS DESDE URUGUAY
Nos escribe desde Montevideo Pablo Romero (Instituto de Profesores Artigas) dando noticia del Proyecto Arje que ha venido desarrollando en los ultimos anos:
"Este emprendimiento surge en Montevideo, capital de Uruguay, en mayo de 2001. La idea central del proyecto es nuclear catedraticos y estudiantes de Filosofia y otras disciplinas, con el fin de promover la reflexion y el debate, y a la vez propiciar la publicacion de articulos y ensayos de los miembros participantes a traves de nuestra web, en la que ademas podran encontrar articulos sobre Peirce, compartidos generosamente por el GEP. El punto de partida fue la consolidacion de un foro de debates, via correo electronico, que mantiene un promedio de 100-150 mensajes mensuales. Actualmente, el proyecto Arje cuenta con 170 miembros de 20 paises americanos y europeos".
Pablo Romero distribuye el boletin quincenal sobre Peirce a los miembros del foro. Desde aqui le agradecemos esta difusion. De hecho en el ultimo mes nos consta que nuestra web ha recibido al menos 136 visitas desde Uruguay.
Para formar parte del Proyecto Arje, hay que escribir a
pabloromero@netgate.com.uy Puede encontrarse mas informacion en
http://arje.hotusa.org/
--------------------------------------------------------------------
"No llamo ciencia a los estudios solitarios de un hombre aislado. Solo cuando un grupo de hombres, mas o menos en intercomunicacion, se ayudan y se estimulan unos a otros al comprender un conjunto particular de estudios como ningun extrano podria comprenderlos, [solo entonces] llamo a su vida ciencia". C. S. Peirce, "The Nature of Science", MS 1334, Adirondack Summer School Lectures, 1905.
La lista de distribucion [UNAV-GEP] es un servicio del Grupo de Estudios Peirceanos, Universidad de Navarra, Pamplona, Spain:
Los numeros anteriores estan almacenados en
http://www.unav.es/gep/BoletinGEP.html
Si desea cancelar la suscripcion envie un mensaje a webmastergep@unav.es con el texto "Cancelar suscripcion".
Mensaje 4145
Mié Nov 26, 2003 3:14 pm
"Pablo Romero" Grupo de Estudios Peirceanos [mailto:UNAV-GEP@UNAV.ES]En nombre de Juan Marrodan
Desarrollos peirceanos 30
Peirce en la web
Estimados colegas,
En este envio damos noticia del proyecto "Bibliografia Peirceana Hispanica, 1883-2000", del proximo seminario del GEP, de la defensa de una nueva tesis doctoral sobre Peirce y de algunas noticias que nos envian desde Argentina.
Un cordial saludo,
Juan Marrodan
-------------------------------------------------------------------
1. PROYECTO "BIBLIOGRAFIA PEIRCEANA HISPANICA, 1883-2000" Ha quedado instalado en la web del GEP el texto-resumen de la presentacion que Fernando Zalamea (Universidad Nacional de Colombia) llevo a cabo en la II Jornada del Grupo de Estudios Peirceanos del pasado 10 de octubre. La presentacion llevo por titulo "Bibliografia Peirceana Hispanica 1883-2000. Hacia una evaluacion de 'lo que el mundo hispanico ha dicho sobre Peirce': desglose analitico y vision sintetica". El texto puede consultarse, en formato PDF, en
http://www.unav.es/gep/IIJornada/BibliografiaPeirceanaHispanica.pdf
Se trata de las lineas maestras de un vasto proyecto del profesor Zalamea en colaboracion con el Grupo de Estudios Peirceanos para la recopilacion, clasificacion y evaluacion de toda la bibliografia existente en lengua castellana sobre C. S. Peirce. Se aspira a elaborar una "Bibliografia
Peirceana Hispanica" que constara
- Introduccion general (vision sintetica)
- Catalogo razonado (desglose analitico)
- Aparato relacional (instrumentario sintetico)
El catalogo se dividira en tres listas, que pretenden abarcar, ordenar y comentar todos los trabajos de tematica mas o menos peirceana en castellano, clasificados y comentados mediante un sistema de criterios que incluyen el tipo de publicacion y el tipo de referencia a Peirce, pero tambien palabras clave y notas descriptivas en cada caso, entre otros criterios cualitativos.
- Listado A (y A+): Textos de autores espanoles e hispanoamericanos sobre Peirce
- Listado B: Traducciones al espanol de textos de Peirce
- Listado C: Textos en espanol de autores no hispanicos sobre Peirce
El 'aparato relacional' constara de algunas herramientas que en funcion de los criterios de clasificacion permitan establecer relaciones dentro de la propia "Bibliografia".
En la presentacion de Fernando Zalamea disponible en la web pueden encontrase las listas actualizadas hasta el ano 2000 del material recopilado hasta ahora en el GEP y un explicacion de los criterios empleados en la clasificacion. Se incluyen tambien algunos ejemplos de como podrian aparecer las distintas 'entradas' de la "Bibliografia", anotados y comentados en funcion de esos criterios. Ofrece tambien una clara y detallada panoramica de la procedencia y numero de las aportaciones en castellano al estudio del pensamiento de Peirce, en la que cabe destacar el aumento de los estudios y traducciones, en general, a partir de la decada de los 70.
El criterio basico que unifica esta "Bibliografia" es que se trate de trabajos escritos o publicados en lengua espanola, si bien entre los puntos sujetos a una posible revision se encuentra la ampliacion de este criterio, de modo que puedan incluirse tambien trabajos de autores 'hispanos' escritos o publicados en otros idiomas (listado A+).
Como es sabido, el primer texto de C. S. Peirce traducido y publicado en castellano aparecio en el numero 141 de la revista cientifica barcelonesa "Cronica Cientifica" del 25 de octubre de 1883 con el titulo "Irregularidades en las oscilaciones del pendulo". Se trata de un resumen del informe de Peirce "On Irregularities in the Amplitude of Oscillation of Pendulums", publicado en "American Journal of Science and Arts". El texto de esa breve traduccion se encuentra accesible en la direccion
http://www.unav.es/gep/irregu.html
El primer trabajo en lengua castellana sobre Peirce del que se tiene noticia es el articulo de 1892 del matematico espanol Ventura Reyes Prosper, recientemente instalado en la web del GEP
(http://www.unav.es/gep/ReyesProsper.html)
La "Bibliografia Peirceana Hispanica", en desarrollo, constituira una valiosa herramienta de trabajo para los estudiosos del legado de Peirce, particularmente para aquellos de habla hispana. Entre las estrategias propuestas por Zalamea para el desarrollo de este proyecto se cuentan la revision completa del material recopilado desde 1994 por el GEP, la inclusion de los listados completos en nuestra pagina web, la solicitud a la comunidad academica hispanica interesada en Peirce de revisar y anadir informacion, y, finalmente, una nueva revision extensa de materiales de biblioteca, particularmente para el periodo 1883-1970.
Pensamos que este proyecto se puede beneficiar mucho de investigadores de cada uno de los paises de habla hispana. Quienes esten interesados en colaborar con el proyecto pueden ponerse en contacto con Fernando Zalamea
-------------------------------------------------------------------
2. NOTICIAS DESDE NAVARRA: Nueva tesis doctoral sobre C. S. Peirce El proximo viernes 12 de diciembre Sara F. Barrena defendera en Navarra su tesis doctoral con el titulo "La creatividad en C. S. Peirce" (Aula Magna, 11.30). Transcribimos aqui el 'abstract' de la tesis:
"El pensamiento de Charles S. Peirce, filosofo y cientifico, ofrece pistas relevantes para el estudio de la creatividad. Desde la semiotica peirceana, la capacidad creadora del ser humano aparece como una caracteristica inseparable de su subjetividad que, como signo, es necesariamente abierta y necesitada siempre de expresion y crecimiento. En este trabajo se examina con detenimiento la abduccion, peculiar operacion logica que no puede explicarse sin el concurso de la imaginacion. La abduccion y el amor creativo, que constituye para Peirce el principal agente evolutivo del universo, son los instrumentos que hacen posible la aparicion de novedad y la continuidad con lo anterior. Se estudian ademas las ciencias normativas —logica, etica y estetica— en el peculiar sentido peirceano, puesto que definen los ambitos de lo que puede ser sometido a control, y por tanto determinan las areas en las que puede desarrollarse la creatividad. Finalmente, la accion creativa queda caracterizada desde esa perspectiva como la accion que persigue un fin, que busca encarnar el ideal de la razonabilidad, introduciendo asi nueva inteligibilidad en el universo y en nuestras vidas".
Sara Barrena es desde 1994 coordinadora del Grupo de Estudios Peirceanos de Navarra. Entre sus trabajos de traduccion y estudios sobre Peirce cabe destacar aqui la traduccion anotada de "A Neglected Argument for the Reality of God", publicada en la Serie Universitaria de Cuadernos de Anuario Filosofico, con la que obtuvo en 1999 la Suficiencia Investigadora. "Un argumento olvidado en favor de la realidad de Dios" se encuantra tambien accesible on-line en la web del GEP, en la direccion
http://unav.es/gep/Barrena/Sara.pdf
--------------------------------------------------------------------
3. NOTICIAS DESDE BUENOS AIRES
El dia 3 de diciembre nuestro colega Mariano Rodriguez tuvo la oportunidad de presentar a Charles S. Peirce en la Universidad Catolica Argentina a traves de la defensa de su tesis de licenciatura "La teoria de los signos de C. S. Peirce: Semiotica filosofica". Transcribimos lo que nos escribe:
'En mi exposicion me ajuste a los siguientes puntos: 1) presentacion de los objetivos de mi tesis: presentar la semiotica de Peirce como ciencia de su tercera categoria: la terceridad, 2) explicacion de la metodologia de la investigacion desarrollada, 3) principales dificultades, y 4) conclusiones finales. La exposicion fue una oportunidad para presentar al autor en mi univesidad puesto que se trata de un autor poco conocido en la UCA. Por otra parte, lo poco que se conoce de Peirce es por su logica formal. Por lo tanto, fue interesante para el tribunal interiorizarse sobre la riqueza del sistema categorial peirceano y sobre su fenomenologia. Estos dos fueron los temas que despertaron mayor interes. Los miembros del tribunal presentaron varias objeciones respecto de la concepcion de la metafisica de Peirce, pero la defensa fue exitosa. Aprovecho esta oportunidad para agradecer al GEP y en especial a Jaime Nubiola por su apoyo'
Nuestra enhorabuena desde Navarra.
--------------------------------------------------------------------
"No llamo ciencia a los estudios solitarios de un hombre aislado. Solo cuando un grupo de hombres, mas o menos en intercomunicacion, se ayudan y se estimulan unos a otros al comprender un conjunto particular de estudios como ningun extrano podria comprenderlos, [solo entonces] llamo a su vida ciencia". C. S. Peirce, "The Nature of Science", MS 1334, Adirondack Summer School Lectures, 1905.
La lista de distribucion [UNAV-GEP] es un servicio del Grupo de Estudios Peirceanos, Universidad de Navarra, Pamplona, Spain: http://www.unav.es/gep/
Los numeros anteriores estan almacenados en
http://www.unav.es/gep/BoletinGEP.html
Mensaje 4924
Mié Ago 11, 2004 9:21 am
"ABOURA"
Desarrollos peirceanos 31
Peirce en Argelia
Hola:
Acabo de ser mienbro del grupo. Pues estoy ahora de vacaciones y en cuanto regrese a mi trabajo (soy profesor de semiotica en la universidad de Tiaret (Argelia)tendre todo el placer de trabajar con Vds. Soy de la escuela de Pierce y trato llavar a cabo les nuevos conceptos de la semiotica arabe mediante la ciencie de los signos desarrollada en los textos sagrados .
Gracias y hasta entonces
Mensaje 5176
Mié Oct 6, 2004 4:17 pm
Juan Magariños <jmagarinos@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 32
Los 66 signos de Peirce
Estimados SEMIOTICIANS:
Sólo para quienes se interesen MUCHO en las propuestas de Charles S. Peirce, les comento que hoy he entrado en el ÍNDICE de www.centro-de-semiotica.com.ar y, allí, en 1.2.2 LAS TRES TRICOTOMÍAS DEL SIGNO. DESARROLLOS EJEMPLIFICATIVOS, el desarrollo correspondiente a una de las partes más crípticas de su Teoría de los Signos: la producción de los que se conocen como "los 66 signos". Es una variación de "los 10 signos", pero éstos tienen una concreta construcción realizada por el mismo Peirce, mientras que los 66 quedan en el terreno de lo hipotético, a partir de algunas indicaciones que proporciona y que registro y también envío.
No incluyo una explicación de cómo llego a identificar esos y no otros, por considerarlo tema para una seminario u otro tipo de desarrollo, en cualquier caso muy técnico y engorroso. No obstante, supongo que quien tenga cierto manejo de la lógica peirceana, leyendo mi propuesta y los pocos textos de Peirce relativos al tema, puede reconstruir los fundamentos o reglas lógicas que apliqué para construir la serie.
Cordialmente,
Juan
Juan Magariños de Morentin
Mensaje 5187
Vie Oct 8, 2004 4:01 pm
Priscila Farias <prifarias@pucsp.br>
Desarrollos peirceanos 33
Los 9 signos de Peirce
caros colegas,
por algum motivo, não recebi o conteúdo completo deste resumo, mas sim apenas a primeira mensagem, 'Consulta sobre los 9 signos de Pierce'.
Como estudiosa das classificações, gostaria de esclarecer que Peirce não elaborou nenhuma classificação de 9 signos. me parece que há, nesta mensagem e na resposta dada por paula winkler, uma confusão entre as 9 modalidades signicas que resultam das tri-partições das 3 tricotomias tratadas no Syllabus de 1903 (natureza do signo, relação do signo com o objeto dinamico e relação do signo com o interpretante final) e as 10 (e não 9!) classes de signos, que resultam das combinações possíveis entre estas 9 modalidades.
sobre este assunto, recomendo a leitura dos trabalhos que publiquei com joão queiroz na semiotica.
[]s,
priscila farias
Mensaje 5188
Vie Oct 8, 2004 8:03 pm
"Paula Winkler" <paula_winkler@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 34
Los 9 signos de Peirce
En efecto, se deslizó un error numérico y no encomillé "signos", lo cual no significa que confundiera, a esta altura, signo con modalidades, en la compleja elaboración de Peirce, Priscila. Gracias de todos modos por la advertencia, pues debemos ser lo más rigurosos posibles, tan luego con este autor y en esta línea. Saludos cordiales, Paula W.
Mensaje 5314
Mar Nov 30, 2004 6:40 pm
Juan Magariños <jmagarinos@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 35
Sobre la abducción
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
Ya que se replantea el tema de la ABDUCCIÓN, les sugiero leer la traducción de los parágrafos de Collected Papers que aparecen en
www.centro-de-semiotica.com.ar
Es el primer tema en el apartado I.2.1.b con traducciones de Charles Sanders Peirce. Creo que, a su respecto, conviene no inventar ni fantasear demasiado, sino tomar base en lo que dice Peirce y, a partir de ahí, utilizar y/o recrear el tema.
Sobre este tema de la ABDUCCIÓN, hay otros desarrollos, provenientes de los mensajes de varios miembros de SEMIOTICIANS y referencias a otras páginas web en
en el apatado 1.3.13 "DESARROLLOS PEIRCEANOS"
Por mi parte, acabo de subir a
www.centro-de-semiotica.com.ar
un trabajo titulado "LA ABDUCCIÓN EN LA INTERPRETACIÓN DE LAS IMÁGENES VISUALES", en el que aplico la lógica de la abducción peirceana a la búsqueda y hallazgo, en la memoria visual, de los ATRACTORES que permiten la construcción de la INTERPRETACIÓN DE LAS IMÁGENES VISUALES. Calculo que aparecerá, en inglés, en el número de SEMIOTICA correspondiente a marzo. Lo que pongo a vuestra disposición, en esta página, es la versión castellana.
Cordialmente,
Juan
Juan Magariños de Morentin
Mensaje 5489
Jue Feb 10, 2005 2:10 pm
Eduardo Serrano Orejuela <eso@telesat.com.co>
Desarrollos peirceanos 36
Sobre Peirce
http://www.antroposmoderno.com/antro-articulo.php?id_articulo=607
Peirce-Pragmatismo, Semiótica y Realismo
La página (www.antroposmoderno.com) contiene numerosos e interesantes artículos sobre diversos temas.
Cordialmente,
Eduardo
--
"Y frente al ordenador, aprendía habilidades nuevas, y creaba algo. Puede que fuese algo completamente inútil, pero al menos creaba". Neal Stephenson
Visita:
Semiótica Discursiva
http://www.geocities.com/semiotico
Mensaje 5752
Dom Abr 17, 2005 6:43 pm
"beiby0027" <beiby0027@yahoo.com.ar>
Desarrollos peirceanos 37
Sobre Peirce
Quisiera saber cual es la definiciónd de los simbolico de charles peirce?
Mensaje 5753
Dom Abr 17, 2005 7:34 pm
Juan Magariños de Morentin <jmagarinos@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 38
Sobre Peirce
Estimados SEMIOTICIANS
y, en especial, estimada "beiby0027" (gracias, si nos das tu nombre "auténtico")
Por mi parte, te sugiero consultar mi texto: CHARLES SANDERS PEIRCE. Sus aportes a la problemática actual de la semiología.
Lo puedes encontrar en:
http://www.centro-de-semiotica.com.ar/ChSPeirce.pdf
Seguramente otros te van a proporcionar otras aproximaciones.
Cordialmente,
Juan
Mensaje 5783
Jue Abr 28, 2005 7:54 am
jimena bedoya <bedoyajimena@yahoo.com.ar>
Desarrollos peirceanos 39
La relación entre Peirce y Verón
Hola a todos:
Estoy algo intrigada y tal vez ustedes me puedan ayudar a encontrar la relación entre Pierce y Eliseo Veron. Veron habla de la produccón de sentido y Pierce de la terceridad. ¿Cómo relacionan uds. esos dos conceptos? Como se ejemplifica la relacióne en la vida cotidiana.
Desde ya gracias.
Jimena
Mensaje 5784
Jue Abr 28, 2005 9:44 am
"Paula Winkler" <paula_winkler@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 40
La relación entre Peirce y Verón
Perdoname, Jimena, creo que Eliseo Verón y Charles Peirce están lejos de ser conciliables. No creo, por lo demás, que Eliseo Verón estudie los medios con la metodología peirceana. Cada uno ve las cosas a su modo, y no comprendo para qué necesitas relacionarlos.
Sí me parece que tendrías que comenzar a analizar por qué Peirce habla de interpretante, por qué se incluye la pragmática, en una línea saussuriana digamos que binaria (con más sustento en el significante, para simplificar demasiado las cosas), muy distinta y con otro enfoque, que precisamente ha dado lugar a dos vertientes. Atentos saludos para ti y para todos. Paula Winkler.
Mensaje 5785
Jue Abr 28, 2005 10:17 am
"Claudio Guerri" <claudioguerri@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 41
Peirce y el análisis de la vida cotidiana
Jimena,
Sobre "Vida cotidiana" hay por lo menos un CD completo de ponencias del V Congreso FELS de 2002 realizado en Buenos Aires. Supongo que puede conseguirse copia en el Instituto de Lingüística, FFyL-UBA (25 de mayo 217, 1º piso, 4334-7512).
Entre las ponencias, hay una de Jorge Alisio y Ana Binnevies que utilizan el "Nonágono Semiótico" (modelo operativo de origen peirciano) para el análisis de lo que puede considerarse "vida cotidiana".
Esto es sólo un comienzo posible, sería más complejo deslindar lo que le atribuís a Verón y a Peirce, resumido así... en dos palabras...
Cordiales saludos
Claudio Guerri
Mensaje 5786
Jue Abr 28, 2005 11:17 am
"Claudio Guerri" <claudioguerri@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 42
Peirce y el análisis de la vida cotidiana
Creo que no se trata de conciliar...
Pero, aunque no soy un experto en la obra de Verón, me consta que Verón a estudiado a Peirce, lo toma en cuenta en sus trabajos y lo cita en sus conferencias.
Probablemente algún exégata de la lista pueda dar cuenta de dónde y cuando.
Cordiales saludos
Claudio Guerri
Mensaje 5787
Jue Abr 28, 2005 11:34 am
Claudia López Barros <lopezbar@mail.retina.ar>
Desarrollos peirceanos 43
Peirce y el análisis de la vida cotidiana
Jimena:
Verón toma el concepto de signo triádico de Peirce como base para el desarrollo de su Teoría de los Discursos Sociales. La relación con Peirce se encuentra particularmente desarrollada (no es el único lugar en el que la encontrarás pero es el que te sugiero para comenzar) en su libro La Semiosis Social (Edit. Gedisa) en el capítulo II "El tercer término".
Con respecto a la ejemplificación no se tu localización geográfica pero en la Facultad de Ciencias Sociales de la UBA, dentro de las Cátedras de Semiótica I (en la Carrera de Ciencias de la Comunicación) trabajamos analizando los discursos de los géneros contemporáneos desde esta perspectiva y tal vez te interese pasar para escuchar algunas de las clases teóricas.
Un saludo cordial.
Claudia López Barros
Mensaje 5788
Jue Abr 28, 2005 11:50 am
"Beatriz Sznaider" <bsznaider@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 44
Peirce y el análisis de la vida cotidiana
En "La Semiosis Social" Verón establece las relaciones entre discursos sociales con los modelos ternarios de Frege y Peirce. Saludos, Beatriz
Mensaje 5789
Jue Abr 28, 2005 1:34 pm
Desarrollos peirceanos 45
Peirce y el análisis de la vida cotidiana
JImena, en muchas de sus obras Veron incluye la terceridad en sus análisis, y en La Semiosis Social lodesarrolla en profundidad, pero para mi gusto en Fragmentos de un Tejido hace un recorrido que permite una comprensión rápida y conceptua. Ambas obras las publica Gedisa
Te mando un saludo
Mensaje 5790
Jue Abr 28, 2005 2:21 pm
"Alejandra Vitale" <vitaleale@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 46
Peirce y el análisis de la vida cotidiana
Jimena:
Te recomiendo la lectura de La semiosis social (Gedisa), donde Verón articula la problemática de la producción social del sentido con el modelo ternario de Peirce. También te puede servir su artículo "La sémiosis et son monde", que publicó en Langages Nº 58. Saludos, Alejandra Vitale
Mensaje 5793
Jue Abr 28, 2005 6:42 pm
nairda oremor <oxanairda@yahoo.com>
Desarrollos peirceanos 47
Preguntas sobre Peirce
Semioticians:
Me ha dado la impresión de que en esta lista hay muchos peircianos. En lo personal, sólo he leído los collected papers de Peirce, y creo que es una lectura muy dificil. No obstante, reconozco la importancia de Peirce en muchos sentidos. A todo esto les tengo 3 preguntas:
1.-Peirce fue entendido en el contexto de la semiótica, pero algunos conocedores afirman que lo de Peirce es más una teoría del conocimiento (lo cual supone que muchos académicos lo han interpretado muy superficialmente)... ¿uds qué opinan?
2.- ¿alguien puede comentar la relación que Peirce tuvo con William James y cual fue su influencia en la pragmática americana?
3.- ¿alguien podría comentar también si Peirce tuvo influencia de B .Spinoza? ¿Peirce fue spinoziano?
Cualquier apunte sería revelador, gracias de antemano...
adr
Mensaje 5795
Jue Abr 28, 2005 8:32 pm
"Paula Winkler" <paula_winkler@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 48
Preguntas sobre Peirce
Somos tantos los que integramos esta lista, que sería realmente aventurado decir que hay muchos peirceanos en esta lista. Hay, eso sí, excelentes intelectuales que vienen de sus propias disciplinas y cada uno aporta su experiencia y su forma de abordar la teoría, la praxis y el conocimiento. Venimos de distintas vertientes del pensamiento y en la diversidad se enriquece el mundo del conocimiento, pero esa diversidad, a mi juicio, no obsta a que debamos plantearnos quiénes podemos considerar clásicos de la Semiótica, o de la Semiología. Porque, para mí, es importante diferenciar el pensamiento fundacional. No hay muchos que se hayan producido ese tipo de pensamiento ni en el siglo XX ni en lo que va del XXI.
Dejo el espacio a quienes podrán contestarte mucho mejor que yo, pero me parece interesante señalar que Peirce tiene una complejidad que estimula. En su obra "What Pragmatism Is" (1905) se dedicó a precisar qué entendía él por "pragmatismo" y a pesar de que pudo haber coincidencias con James, se ocupó de diferenciar su propia concepción del asunt, introduciendo el concepto de "sorpresas", en especial relación con el problema que yo considero más metodológico que epistemológico.
El Moderador es un gran conocedor de Peirce, hay muchísimos más talentosos que yo, que pueden contestar a tu pregunta. Sí, Peirce es complejo. Pero también lo han sido Freud, Lacan, Deleuze. Pero algo más los hizo susceptibles de ser leidos y releidos, es -como todos los grandes pensadores y escritores de la humanidad- el planteo y la forma novedosa de acercarse al conocimiento lo que los diferencia. Saludos. Paula Winkler.
Mensaje 5804
Mar May 3, 2005 5:14 pm
nairda oremor <oxanairda@yahoo.com>
Desarrollos peirceanos 49
Preguntas sobre Peirce
Gracias, Paula, por tu atenta respuesta. Coincido contigo -para variar ¿seremos demasiado conciliadores, acaso?-: hay que reconocer el pensamiento fundacional, el cual suele ser transformador y dificil. En el fondo no propongo un dogmatismo sino simplemnte quiero instar a aquellos que en su intimidad logran empatar su pensamiento con el de Peirce, (y sobretodo lo hago, no como provocación, sino para esclarecer algunas dudas). Es una lástima que estos compañeros a los que aludo estén aún en el mutismo.
Me preocupa considerar que lo de Peirce sea semiótica cuando podría ser algo mucho más importante. Tengo la impresión de que el pensamiento sui generis de Peirce no puede sopesarse (o liberarse) exclusivamente bajo el rubro de la semiótica. Quizá tampoco se haya descubierto la potencia real de la pragmática, y quizá Peirce sea ese eslavón perdido, el cual no puede hallarse con el rótulo entendido de la semiótica.
Espero que estas sospechas no le erizen los pelos a muchos...
adr
PD Personalemte, me gusta mucho la idea de la "semiosis infinita", una idea que se me hace muy de Spinoza.
adr
Mensaje 5808
Mié May 4, 2005 10:00 am
"Paula Winkler" <paula_winkler@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 50
Preguntas sobre Peirce
En contestación a tu postdata, digo que concuerdo, y ya lo había dicho Umberto Eco en su epígrafe al conocido "Tratado..." , pero siempre "infinita" (o no tanto), sobre la base de lo dicho, expresado, filmado, instalado, etc. etc.
Saludos cordiales para todos. Paula W.
Mensaje 5810
Mié May 4, 2005 12:37 pm
"Claudio Guerri" <claudioguerri@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 51
Preguntas sobre Peirce
Estimado Adrián Romero,
no creo que haya muchos que crean que el pensamiento de Peirce pueda "sopesarse (o liberarse) exclusivamente bajo el rubro de la semiótica", ni que fuese de origen "eslavo" y perdido... mas bien parecía bastante centrado para armar tan compleja propuesta filosófica...
bue... se perdió un poco al final de su vida... lo que abonaría la creencia de algunos (incluso autoridades universitarias) que: "...tanta teoría hace mal..."
Por otro lado me parece muy prudente que algunos "compañeros a los que [aludís] estén aún en el mutismo" porque es imposible resumir seriamente la propuesta peirciana en una lista como ésta (excepto que se quieran tratar temas puntuales y concretos), sin invadir y ocupar totalmente con Semioticians todas las casillas de correo de los participantes que no siempre estarían interesados en este tema en forma exclusiva.
Para los específicamente interesados en un análisis exegético sobre la obra de Peirce recomiendo participar de la Lista Peirce que coordina Joseph Ransdell. Pueden visitar
http://members.door.net/arisbe/homepage/ransdell.htm
Don't worry Nairda Oremor (será un nombre "eslavón"...) estas sopechas no le van a hacer "erizar los pelos" a nadie... y menos en este mundo en que vivimos...
Cordiales saludos
Claudio Guerri
PS: personalmente a mí me gusta mucho la ensalada de rúcula... mucho más si con champiñones cortados al mandolín...
PS 2: "...y sobretodo lo hago, no como provocación, sino para esclarecer algunas dudas..."
Mensaje 5811
Mié May 4, 2005 9:44 pm
nairda oremor <oxanairda@yahoo.com>
Desarrollos peirceanos 52
Preguntas sobre Peirce
Claudio:
OK, una errata de dígito merece la ironía. No referí a Peirce como eslavo sino como eslaBón. Además, acepto que la metáfora no fue tan afortunada, y es susceptible de ser olvidada. Pero no podrás negar que el pensamiento de Peirce no deja de ser enigmático (y que quizá en algunos años surgan nuevas interpretaciones totalmente nuevas respecto a su pensamiento). Coincido contigo en que no todos creen que el pensamiento de Peirce pueda sopesarse (o liberarse) exclusivamente bajo el rubro de la semiótica, y ese es el punto : quizá el pensamiento de Peirce esté demasiado acomodado en la semiótica -al menos esa es mi respetable impresión- sobretodo si se considera que es fundacional y que da cierta autonomía a la disciplina semiótica de hoy en día.( Y es que, por otra parte, hay tantas preguntas que surgen si se rompe ese mol¿Qué pasaría si se vuelcan los conceptos peircianos al propio pensamiento de Peirce? ¿Es aplicable una terceridad a la vida y a la obra del propio Peirce? En la historia del conocimiento, ¿Podría la obra de Peirce ser vista como un signo? ¿Signo de qué?).
Al leer tu comentario respecto al final de la vida de Peirce, creo que mi inquietud no es tan gratuita, y sería fantástico que te extendieras en aquello que le pasó a Peirce -y que ha podido llevar algunos académicos (según lo cuentas) a decir que "tanta teória hace mal"- y además, sería fenómeno que lo hicieras para todos aquellos que ignoramos porqué se perdió al final de sus días (al menos podrías remitirnos a alguna referencia para saberlo). Por mi parte, no puedo más que respetar el hecho de que consideres prudente que algunos de nuestros compañeros en la lista no quieran ilustrar estas cuestiones, pero ello no impide finalmente que lo hagan, ni impide que algunos como yo tengan y expresen sus propias inquietudes (claramente dije que no soy conocedor de Peirce y que lo que de él leí -sus collected papers- me resultaron inquietantes y complejos).
Creo que es un buen ejercicio meterle sazón a la lista (justo como tu lo has hecho) para no hacer tan rígida y presuntuosa la participación: las preguntas que giré pretendían eso, no pretendían manifestar el eruditismo que no tengo y que no presumo tener -cosa que resulta por demás obvia-).
También coincido contigo en que no se puede resumir seriamente la propuesta peirciana en esta lista "sin invadir y ocupar totalmente con Semioticians todas las casillas de correo de los participantes". Si consideras que hablar de Peirce implica necesariamente una exégesis y una seriedad obligadas ¿no sería ésta una postura dogmática? Mi propuesta era hacer comentarios en un tono relajado y sin el temor de exponerse en ese relajamiento (sin preocuparse por el qué dirán profesional) no pretendo (y soy consciente de que en realidad no podría) provocar un desbordamiento de correos electrónicos cargados de un formalismo academicista que, por otra parte, no estaría para nada off topic, y no afectaría a nadie (cualquiera podría eliminar en bloque esos correos sin sentir una suerte de remordimiento intelectual).
Si te fijas, mis comentarios te hicieron saltar -al fin de cuentas- como peirciano (además de que pareces referirte a los demás igualmente como peircianos de hueso colorado, ya que pareces decir que si se deja el mutismo todos participarían rampantemente ¿será?).
Ciertamente, mis sospechas no hicieron erizar el pelo a nadie: eso lo dije en un sentido figurado -que le dicen- para instar a los que saben a la participación y a la orientación de los presurosos como yo. ¿No habrás caído en este garlito? Si así fue, bienvenido sea: de eso se trata todo esto. Pero bueno, al parecer descubriste mi secreto con tu ironía final: mi nombre no es eslavón (me hiciste descargar una serie de carcajadas ante mi evidente errata, y por ello te agradezco: se ve que tienes buen humor y eso se contagia) como has podido sospechar: simplemente es mi nombre al revés, pero no debiste esforzarte tanto ¿eh?.
Una última y alegre recusación: mi PD no implicaba exactamente una ligereza de gusto de índole espontaneista y silvestre: a decir verdad, no me da tanto por degustar conceptos y luego botarlos: digo que la semiosis infinita "me gusta" simplemente porque estimula y empaniza mis neuronas.
Por mi parte, es bienvenida la ironía siempre y cuando ilustre. Pero después de la jocosidad, sería meritorio de tu parte que mejor nos cuentes de esa fase final de Peirce...
muchos saludos
adr
Mensaje 5818
Jue May 5, 2005 5:24 pm
Marilia Laboissiere <mvla35@yahoo.com.ar>
Desarrollos peirceanos 53
Preguntas sobre Peirce
Nairda,
Todas las informaciones y esclarecimientos que queiram, hay una persona in Brasil que es una das mas importantes conocedores de Peirce y su obra... Ella hay diversos livros publicados...
Es la Profa Lucia Santaella de la PUC-SP
un abraço,
MArilia
Mensaje 5836
Vie May 13, 2005 9:43 am
"Elda Cerrato de Zubillaga" <ecerrato@filo.uba.ar>
Desarrollos peirceanos 54
Preguntas sobre Peirce
Peirce otra vez y para que momentáneamente no se desvanezca...
No me considero de ningún modo "experta" en Peirce, pero lo poco que leí me encanta, trato de aplicarlo, y lo considero totalmente fuera de serie y mas en relación a tantos " académicos " y autoridades universitarias, que lo marginaron y no lo entendieron para nada.
A Nairda Oremor: " alguien puede comentar la relación que Peirce tuvo con William James y cual fue su influencia en la pragmática americana?"
El mismo Peirce puede aclarar, un poco: " Lecciones sobre el pragmatismo" , insustituible para mí para conocer algo de Peirce, traducido al español por D. N. Pavón, 1978, ed. Aguilar A. pag.56... - siempre conviene tener a mano versión original...por errores de imprenta -
Tampoco creo que se perdió un poco al final de su vida... , y tampoco reveló del todo algo de parte del origen de sus teorías, precisamente por la actitud de " académicos " y autoridades universitarias, hacia su pensamiento, bastante poco "ortodoxo"? o no lo suficientemente anacrónico? o demasiado "filosófico", o muy " espiritual"... y a veces contradictorio, como buen investigador inteligente e imaginativo?
Un link con bibliografía para variados gustos respecto a C. S. Peirce:
www.ARISBE THE PEIRCE GATEWAY Library of Papers Related to the Work of Charles Peirce
Cordiales saludos, Elda Cerrato
Mensaje 6548
Mié Dic 14, 2005 5:53 pm
Eufrasio Prates <eufrasioprates@gmail.com>
Desarrollos peirceanos 55
Conceitos de interpretante na semiótica de Peirce
Colegas,
É com muita satisfação que compartilho com tod@s a alegria de ter concluído minha pós em Filosofia defendendo a monografia: "Os conceitos de interpretante na semiótica de Peirce: uma hermenêutica das tricotomias interpretativas", ontem à tarde.
A banca foi composta pelos professores Maximino Basso, Luiz Claudio Batista (ambos da Católica) e o prof. Fernando Bastos (UnB), a quem agradeço as valiosas contribuições. Um agradecimento especial é devido a Lúcia Santaella, cujo trabalho (no capítulo terceiro de sua Teoria Geral do Signo) foi meu principal ponto de partida para a investigação.
O trabalho, apresentado em versão sintética no último Congresso da FELS, conclui por um novo modelo de combinação de 3 tricotomias do interpretante peirceano, chegando a uma distinção de 27 diferentes tipos de interpretante.
Como o arquivo ultrapassa o tamanho permitido pelo grupo (621KB), coloco meu email à disposição dos interessados em receber uma cópia PDF do texto. Toda crítica e sugestão será bem-vinda, pois recebi convite para apresentá-lo num artigo na Revista Signa, da Asociación Española de Semiótica.
Abração do
Eufrasio
--
Eufrasio Prates
Professor Semiótica das Mídias - UPIS
Gestor da Tutoria - AIEC
Diretor da Associação Brasiliense de Comunicação e Semiótica - ABSB
Secretário Geral Adj. da Federação Latinoamericana de Semiótica - FELS
55(61)81294000
Mensaje 6554
Dom Dic 18, 2005 1:24 pm
liciaso <liciaso@ig.com.br>
Desarrollos peirceanos 56
Conceitos de interpretante na semiótica de Peirce
Caro Eufrásio,
Tambem estou interessada nesta tese. Tenho um livro no prelo da VOZES que aborda a teoria peirceana e tambéem vamos criar o centro de estudos na Bahia.
Abraços e Boas Festas!
Mensaje 6566
Vie Dic 23, 2005 7:34 pm
Juan Magariños <jmagarinos@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 57
Monografía de Eufrasio Prates
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
Os comunico que acabo de ingresar en la página web:
http://www.centro-de-semiotica.com.ar
el trabajo de EUFRASIO PRATES: "OS CONCEITOS DE INTERPRETANTE NA SEMIÓTICA DE PEIRCE: UMA HERMENÊUTICA DAS TRICOTOMIAS INTERPRETATIVAS"
Se puede acceder a este texto en el ÍNDICE de esa página, desde BIBLIOTECA DE TESIS; o directamente desde este hipervínculo:
http://www.centro-de-semiotica.com.ar/Prates.pdf
Cordialmente,
Juan
Mensaje 6605
Lun Ene 9, 2006 4:28 am
"marty" <marty@univ-perp.fr>
Desarrollos peirceanos 58
Las 76 definiciones del signo en Peirce
Pueden ahora disponer en español de las 76 definiciones del signo según Peirce gracias al trabajo de María Fernanda Benitti (casi) traductor técnico-científico y literario en Ingles
http://www.univ-perp.fr/see/rch/lts/marty/espagnol.htm
Les rogamos que envían toda observación relativa a la traducción a fernandabenitti@hotmail.com y a marty@univ-perp.fr.
Mensaje #7370
Vie, 29 de Sep, 2006 6:00 pm
Juan Magariños <jmagarinos@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 59
Los 10 signos en Peirce
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
Hago un pequeño aporte pedagógico y analítico. He organizado una muy breve exposición conceptual y gráfica del desarrollo que propone Peirce, acerca de la identificación de los 10 SIGNOS a partir de sus tres tricotomías (por tanto, a partir de sus 9 SIGNOS), tratando de mostrar qué se relaciona con qué y reordenando (con cierta heterodoxia) su exposición, como para que se los pueda comprender (o interpretar) haciendo centro en su OBJETO (o EXISTENTE), según sea éste un ICONO, un ÍNDICE o un SÍMBOLO. En este sentido, la propuesta actual difiere de la que elaboré, mucho más ortodoxamente, hace 23 años, en "EL SIGNO. Saussure, Peirce, Morris; las fuentes teóricas de la semiología". Añado también los ejemplos correspondientes a cada una de estas 10 posibilidades semióticas. Puede verse en: http://www.centro-de-semiotica.com.ar/Peirce10signos.html
No olvido mi deuda respeto a LA SEMIÓTICA DE LOS BORDES; y, en especial, mi deuda en contestar las interesantes observaciones formuladas por los colegas Antonio Caro y Marta Susana López. Me interesan ambas cosas: continuar ese desarrollo teórico y responder a estas intervenciones. Asumo el compromiso de proseguir esa línea, lo que espero ir cumpliendo durante el mes de octubre.
Cordialmente,
Juan
Juan Magariños de Morentin
Mensaje #7371
Vie, 29 de Sep, 2006 7:50 pm
Juan Magariños <jmagarinos@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 60
Peirce - Derecho
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
Una pequeña cosa más: en la misma página del Centro Virtual de Investigaciones Semióticas, acabo de incluir una exploración del concepto de DERECHO, en función del análisis que permite la apertura de 27 SIGNOS, siguiendo la invitación peirceana de iniciar el recorrido hacia la SEMIOSIS ILIMITADA. Se puede ver en:
http://www.centro-de-semiotica.com.ar/Peirce-Derecho.html
Cordialmente,
Juan
Mensaje 8709
Jue, 20 de Dic, 2007 4:05 pm
Juan Magariños <jmagarinos@fibertel.com.ar>
Desarrollos peirceanos 61
NÚMERO y los 10 signos periceanos
Estimadas/os SEMIOTICIANS:
Les envío un ejercicio casi pedagógico, que trata de mostrar la eficacia explicativa que puede tener el esquema de los 10 signos peirceanos cuando se lo aplica a identificar los distintos niveles que intervienen en la construcción, identificación y aplicación empírica de una determinada entidad conceptual. En este caso, a partir de la reunión del Seminario de Semiótica, en la Facultad de Humanidades y Ciencias Sociales de la Universidad Nacional de Jujuy, tenida el miércoles 12 de diciembre, a las 18 horas, en la que nos referimos a una inicial lectura de la entrada "NÚMERO" en el Diccionario de Ciencias Cognitivas, de O. Houdé, D. Kayser, O. Koenig, J. Proust y F. Rastier, (en español: Buenos Aires, Amorrotu editores, 2003) y en razón de la complejidad que podría implicar su adecuada comprensión, se me ocurrió ensayar el análisis del concepto en función de la mencionada propuesta de Peirce. De todas formas, aclaro que es apenas el esbozo de lo que tendría que llegar a ser y cuyo desarrollo dejo al eventual interés de los colegas de SEMIOTICIANS.
EJEMPLIFICACIÓN ANALÍTICA POR APLICACIÓN DEL DESARROLLO DE LOS 10 SIGNOS PEIRCEANOS AL CONCEPTO: "NÚMERO"
El concepto de "número" construido mediante el recorrido de los 10 signos peirceanos, permite buscar una respuesta al siguiente interrogante: ¿qué componentes intervienen en la configuración (icónica) / referencialidad (indicial) / operatividad (simbólica) de los números?
OPERACIONES PERCEPTUALES: RELACIONES ICÓNICAS.
Cualisigno icónico rhemático: formas posibles para el diseño de números (frente a las imposibles).
Sinsigno icónico rhemático: formas existentes y socialmente disponibles de números concretos.
Legisigno icónico rhemático: formas de números con valoración relacional (orden en la sucesión) convencionalmente diferenciada.
OPERACIONES REFERENCIALES: RELACIONES INDICIALES.
Sinsigno indicial rhemático: la forma de la cantidad de un conjunto existencial.
Sinsigno indicial dicisigno: la presencia de la cantidad de un conjunto existencial, entre otros conjuntos e individuos existenciales.
Legisigno indicial rhemático: la valoración de la forma de la cantidad de un conjunto existencial.
Legisigno indicial dicisigno: la valoración diferencial entre las cantidades de dos (al menos) conjuntos existenciales.
OPERACIONES CONCEPTUALES: RELACIONES SIMBÓLICAS.
Legisigno simbólico rhemático: valor cuantitativo convencional diferencialmente atribuido a cada uno de los componentes de un sistema de formas posibles de números.
Legisigno simbólico dicisigno: valor cuantitativo convencional referencialmente atribuido a cada conjunto existencial.
Legisigno simbólico argumental: valor cuantitativo convencional operativamente atribuido a la combinatoria entre los componentes de un sistema vigente de formas de números.
Lo dejo así, para alguien que quiera continuarlo. Quien se interese por el tema de los 10 signos, puede encontrar una aproximación en:
http://www.centro-de-semiotica.com.ar/Peirce10signos.html
Cordialmente,
Juan
Juan Magariños de Morentin
Mensaje 9028
Lun, 24 de Mar, 2008 6:32 pm
Martín Camargo
Desarrollos peirceanos 62
Las categorías peirceanas
Cordial Saludo:
Quisiera saber si existe alguna diferencia entre las categorías de "First", "Second" y "Third" y las de "Firstness", "Secondness" y ""Thirdness". Tengo entendido que unas son fenomenológicas y otras metafísicas, pero no he podido aclarar esta confusión y quisiera recibir algún tipo de orientación.
Les agradezco su atención
Atentamente
Martín Camargo
Estudiante de la Maestría en Semiótica UIS (Universidad Industrial de Santander) - Colombia
Mensaje 9030
Mar, 25 de Mar, 2008 5:19 pm
Horacio Rosales
Desarrollos peirceanos 63
Las categorías peirceanas
Martín, es lo mismo: aunque las categorías pueden ser relacionadas como las más generales de la metafísica peirceana, las mismas operan dentro de la compleja faneroscopia. Peirce llamaba "primero", "primeridad" "primo", etc., indistintamente, porque, como él decía, no encontraba mejores nombres para nombrar... Así que "First" y "Firstness" son, en esencia, lo mismo.
saludos,
Horacio
Mensaje 9046
Mié, 2 de Abr, 2008 4:49 am
Claudio Guerri
Desarrollos peirceanos 64
Las categorías peirceanas
Lista,
este mail no llegó a destino en su momento.
Aprovecho para intercalarle una rápida traducción que el original no tenía...
CL
Claudio Guerri said the following on 25/03/2008 20:37:
Martín, Horacio, Lista,
sin ser un exégeta de la obra de Peirce creo haber verificado rápidamente en los CP digitales que el uso de first, second y third es simplemente ordinal, como en:
CP 5.121 Philosophy has three grand divisions. The first is Phenomenology[...] The second grand division is Normative Science [...] The third grand division is Metaphysics [...] (con minúscula en este caso) Trad.: La filosofía tiene tres grandes divisiones. La primera es la Fenomenología [...] la segunda gran división es la ciencia Normativa [...] la tercera gran división es la Metafísica [...] o en CP 6.201 [...] But what I mean is, that all that there is, is First, Feelings; Second, Efforts; Third, Habits[...] (en mayúscula, cuando hace referencia a las categorías pero dando meramente el orden lógico) Trad.: pero lo que trato de decir, que todo lo que hay es, Primero, Sentimientos; Segundo, Esfuerzo; Tercero, Hábitos...
Mientras que Firstness, Secondness y Thirdness está reservado a las 3 categorías, a la tríada que él consideró su legado más importante, como en: CP 4.3 [...] Quality, reaction, and mediation will do. But for scientific terms, Firstness, Secondness, and Thirdness, are to be preferred as being entirely new words without any false associations whatever [...]. Trad.: Cualidad, reacción y mediación pueden servir. Pero como términos científicos, Primeridad, Segundidad y Terceridad, deben ser preferidos por ser palabras enteramente nuevas sin ninguna falsa asociación posible...
Saludos
Claudio Guerri
Mensaje 9057
Sáb, 5 de Abr, 2008 1:10 pm
Rabea Uchtmann
Desarrollos peirceanos 65
Las categorías peirceanas
Estimados,
no meu conceito nao pode existir uma metafisica peirceana porque Peirce*s processo especial da "precisao logica ", chamado "abduction", ponta á uma abolição da metafisica em todo. No principo Peirce precisa um abordagem "de baixo para cima" com as categorías emergentes.
Dr. Rabea Uchtmann
CP 41 02 30
D-28312 Bremen
Mensaje 10589
Jue, 25 de Mar, 2010 10:02 pm
Miguel Bohorquez
Desarrollos peirceanos 66
Pedido de información
Cordial saludo semioticians,
He iniciado lentamente un acercamiento al pensamiento triádico de Peirce para llegar al estudio de su planteamiento sobre el icono como aspecto del signo. En este acercamiento tengo una inquietud inicial. Al revisar la figura del fundamento (*ground*) del representamen, la cual entiendo como una idea particular del objeto, y no el objeto en su totalidad; además teniendo en cuenta que Peirce estudia la semiosis (no la comunicación) como proceso de razonamiento para construir conocimiento, se me viene la siguiente idea: si el fundamento es una idea particular de algo a sustituir por medio del representamen ¿quiere decir que alguien tiene esa idea particular inicial? y si es así entonces ¿no estariamos hablando de un proceso de semiosis delimitado por un ejercicio de comunicación? es decir ¿el fundamento del representamen implica la presencia de un emisor? y si no es así, entonces ¿de donde sale el fundamento?
Gracias